Annales des Mines (1852, série 5, volume 1)
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PARACHUTE DE M. FONTAINE.
facilité pourrait être quelquefois très-précieuse, dans le cas par exemple où le mécanicien n'interromprait pas à temps la marche du moteur et conduirait la cage jusqu'au puisard dans lequel se réunissent les eaux de la mine.
MÉMOIRE SUR LES RESSORTS EN ACIER-EMPLOYÉS DANS LE MATÉRIEL
DES CHEMINS DE FER (1). Par M. PHILLIPS, ingénieur des mi
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CHAPITRE PREMIE ,
- THÉORIE MATHEMATIQUE DES RE
(1.0Ë.,":
Les ressorts sont d'un usage général
roulant des chemins de fer et dans les vaterreg qui circulent sur les routes ordinaires. Jusqu'ici, malheureusement, on n'a pas déterminé, d'une manière générale, les lois auxquelles ces appareils, quelle que soit leur forme, obéissent, et l'on a dû, en général, recourir aux tâtonnements pour fixer les formes et les dimensions qui conviennent aux ressorts, dans les différents cas que la pratique peut présenter. Il m'a donc semblé (i) Ce travail, présenté à l'Académie des sciences, a été renvoyé à l'examen d'une commission composé de MM. Poncelet, Séguier et Combes, rapporteur. Nous reproduisons les conclusions du rapport adopté par l'Académie dans sa séance. du i6 février dernier ; elles donneront aux constructeurs la mesure de la confiance que doivent inspirer l'analyse de M. Phillips,
et les conséquences pratiques qu'il en a déduites. C. « Le travail de M. Phillips sera fort utile aux ingénieurs et aux constructeurs qui y trouveront des règles rationnelles » et d'une application facile pour l'établissement des ressorts capables de satisfaire avec la moindre dépense de matière à des conditions données de flexibilité et de résistance. ,Les
publications antérieures qui sont parvenues à notre connaissance n'ont traité que les cas les plus simples de la » théorie des ressorts. Nous citerons en particulier un mé» moire intéressant de M. Blacher, imprimé dans le Compte rendu de la Société des ingénieurs civils (2e trimestre 1850), » où l'auteur a appliqué le calcul aux ressorts composés de feuilles d'égale épaisseur. La théorie donnée par M. Phillipm TOME I, 1852.
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