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RESSOÉTÉ EN ACIER.

RESSORTS EN ACIER.

d'épreuve à laquelle on les Sdnmet y détermine des

qui donnent e(2r 2r

puis

r, =

allongements même un peu plus forts sans qu'ils cessent de reprendre leur forme primitive. Toutefois les expériences faites dans ces derniers temps par M. Wertheim, et celles que j'ai entreprises au chemin de fer du Nord

e)

e

2ct

On a ensuite

(voir chapitre III) , me font regarder comme prudent de ne faire travailler l'acier sous la charge normale qu'à des allongements généralement compris entre 0m,002

14'

Pr:

On trouve de même e,

Valeur des coefficients

numériques.

241

e,(2r, 2r,

e,)

e,

r,

e,

2a

-; M,

Pr,

et ainsi de suite. Toutes les feuilles du ressort seront ainsi déterminées. Dans les applications, j'ai admis comme coefficient

de l'élasticité de l'acier, le nombre 2o. 000.000. 000 , qui est celui résultant unanimement des expériences de MM. Poncelet, Morin, Ardant et autres observateurs. Toutes les flèches que j'ai calculées, pour des ressorts en acier fondu ou corroyé, se sont très-bien ac-

cordées avec ce coefficient, et j'ai vérifié d'ailleurs qu'une différence assez faible supposée sur le coefficient changeait la flexibilité d'une manière sensible.

et om,005. Pour de bons aciers, om,ocpj5 me paraît une lirfiite Convenable et parfaitement sûre (voir pour plus de détails le chapitre III).

J'ai supposé, dans les exemples précédents, que la

résistance extrême du ressort, ainsi que la limite de ses de résistance a lieu au-dessous allongements, répondaient à son aplatissement com- soit soit au dessus plet; mais, comme je l'ai dit d'ailleurs, cette supposi- de l'horizontale. tion n'est pas nécessaire. En effet, les principes généraux qui servent de base au calcul des ressorts font connaître leurs éléments en fonction de et de P, et P étant l'allongement et la résistance qui ont lieu quand le ressort est aplaii , que

cet allongement et cette résistance soient d'ailleurs égaux, supérieurs ou inférieurs à ceux qui correspondent aux limités du i ressort. fi sait donc de connaître

Quant à la limite d'allongement, j'ai admis qu'on

« et P. Or c'èst dè qui sê'ra totijdnts possible, lors

pouvait aller jusqu'à om,005 comme limite extrême. Les nombreuses observations de M. Lasalle, ingénieur, di-

mêtrié que ces quantités ne Seraient pas données immédiatement, Ainsi 5 pat eJén'ipld Stipposons qu'on donne la flexion extrême u, ati-dessong ou atideSsus de l'ho-

rigeant les ateliers de M. Eargès , lui ont fait recon-

naître qu'une lame d'acier ayant pour épaisseur le centième du rayon pouvait être rectifiée, et qu'elle reprenait ensuite complétement sa forme primitive. Or la formule

2r

donne alors

o,005. J'ajouterai que

dans certains ressorts, par exemple, ceux des wagons à marchandises du chemin de fer de Lyon, la charge

Ressorts

dont la limite

rizontale, que le ressort ne devra pas dépasser, ainsi que la position du ressort sous la charge normale 2Q , par rappott à l'horiZontale u étant pesitif s'il est audessous de l'horizontale ; et hégatif s'il est ail-dessus. On deilaîtra alors iininédiatéltiént f e en alita P par la pfifer t ion