Annales des Mines (1852, série 5, volume 1)
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Res sud
à auxiliaire.
RESSORTS EN ACIER.
RESSORTS EN ACIER.
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pas calculées par les formules e 2rc,2riz , etc. Mais il n'est pas douteux qu'ils se comporteraient fort bien, si les épaisseurs étaient calculées d'après cette loi et si, de plus, ils étaient calculés pour être sensiblement horizontaux sous la charge normale.
son volume et par suite son poids sont donc notablement moindres que .ceux d'un ressort ayant même flexibilité
On voit ainsi, en outre, qu'il convient de faire en
différents deux conditions essentiellement distinctes : 'la flexibilité et la résistance qui n'ont nullement besoin d'être remplies...par le même -instrument. Le. ressort se
sorte qu'un ressort travaille habituellement aplati sous la charge qu'il supporte ; indépendamment de ce que alors les glissements des feuilles, et par suite le travail dû au frottement sont moindres, et j'ai indiqué un peu plus haut comment on calculerait, clans tous les cas, un ressort de cette espèce, que les épaisseurs des feuilles soient les mêmes ou différentes les unes des autres. Je passe maintenant à la description d'un autre type de ressort. Le même raisonnement qui a servi à établir que les
ressorts à, feuilles crépaisse.urs égales ou sensiblement égales avaient, toutes choses égales d'ailleurs, un volume moindre que les ressorts ayant, avec la même maîtresse feuille même flexibilité et même résistance, mais dont les feuilles ou certaines d'entre elles auraient des épaisseurs décroissantes à partir du haut, fait voir que le volume diminue encore, quand les épaisseurs croissent du haut vers le bas, car les étagements augmentent alors rapidement et le profil extérieur du ressort aplati rentre encore plus en dedans de la ligne ABK (fig. 4). La différence des volumes est encore plus sensible si la maîtresse feuille est déjà elle-même
et même résistance, mais dont :les feuilles auraient toutes la même épaisseur.
En principe,. on a fait remplir par des appareils
compose alors des deux parties l'une, formée de feuilles toutes de même épaisseur, constitue le ressort
proprement dit : elle travaille seule ordinairement sous la charge normale ; l'autre, placée au-dessous, est plus épaisse et divergente., et ne vient en contact avec elle que sous un excès de charge et successivement. Cette dernière partie qui sert d'auxiliaire est calculée d'après
l'excès de résistance propre qu'on désire attribuer au ressort, quelle que soit d'ailleurs cette résistance..,» Subsidiairement on peut remarquer qu'un pareil ressort, tout en conservant au système la flexibilité voulue, au départ, doit amortir plus vite les oscillations et cela progressivement, car l'auxiliaire est calculé de manière à établir un contact graduel entre lui et le ressort pro-
prement, çjt.. Pans la pratique.,, vo.ici c(ipfflent on ete.rmin.q?!ip ressort de cette espèce.
plus épaisse que dans le ressort équivalent comme flexibilité et résistance propre, mais dont les feuilles
-co,411,79,eçcera,. par fixer la fléché maxima; et. la flèche minima, de fabrication que puisse avoir le ressort. La première répondra au ressort complétement formé de feuilles d'épaisseurs égales et calculé par la méthode précédemment exposée, l'aplatissement ayant lieu, sous
seraient toutes de même épaisseur. Le ressort que je vais décrire .réalise complètement ces conditions, comme on va le reconnaître. Tout en ayant la flexibilité et la résistance propre demandées,
moins égale à la charge normale et au p,fits egale. à. celle qui répond àla limite d'élasticité, par exemple à:0'1,005. Cette_charge 2P est _celle sous laquelle aura également
une charge quelcenque
,
iiais fbiée d'avance, gP , au