Annales des Mines (1852, série 5, volume 1)
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sun LE TRACÉ DES CHEMINS DE FEB
INFLUENCE DES PROGRÈS DES LOCOMOTIVES
Les expériences ont été faites sur la section de Payerbaeli à Eichberg qui présente, accumulées sur un parcours de 6',17, les principales difficultés du tracé.
Voici, du reste, la récapitulation des accidents, en profil et en plan, de cette partie de la ligne :
0,0025 0,0050 0,0100 0,0143 0,0167 0,0217 0,0222 0,0250
longueur. 0,474 0,457 0,164 0,534 0,048 0,114 0,107 0,978 3,292
kil.
Alignements droits.
Courbes, au nombre de 30, et à rayons variables de 374 à 190 mètres. . . . .
2,342 3,824
6,166
6,166
1° Passage dons les courbes.
Les machines Bavaria, Seraing et Neustadt ont frau-
chi sans difficulté, à la vitesse de 58 kilomètres, les courbes les plus roides; mais, ainsi qu'il était facile de le pressentir, la Vindobona n'a pu circuler sans trop de gêne dans ces courbes qu'en découplant l'essieu antérieur et en donnant du jeu aux boîtes, c'est-à-dire en sacrifiant, pour l'adhérence, une charge de 1 et,5. Quant à l'arrêt :
20 Arrêt
I la desceill'.
La B av aria, lancée avec son tender seulement sur la pente au 1//toc à la vitesse de 570,9
a été réduite au repos après un parcours m. de.
La Neustadt, à la vitesse cle 37',9 , au bout de 57 mise A partir del en action
-
-
311%7 La Seraing , 7' des freins. 153 La Findobona , 300,3 Tandis que le programme laissait, dans l'état ordinaire des rails, une latitude de 150 mètres, à la vitesse de 5c, kil. 3° Charge
remorques.
Elles ont eu lieu, comme les précédentes, entre Payerbach et Eichberg. On constatait non-seulement la charge, la vitesse, la consommation , mais aussi tous entre les machines.
PLAN,
kilom.
Palier.
20 Épreuves comparatives.
les faits propres à établir une comparaison complète
PROFIL.
.....-...--...-......---inclinaison,
89
Les quatre machines ont rempli aussi la condition absolue de puissance : la première, très-largement, la dernière, en atteignant strictement le minimum. Elles étaient donc toutes admissibles au concours.
La régularité du jeu d'une machine, la facilité avec laquelle elle reproduit des circonstances identiques ou équivalentes de travail et de consommation, est un élément d'appréciation très-important de sa valeur réelle un jugement fondé sur un petit nombre d'observations est peu concluant d'ailleurs , si cette régularité, cette permanence de l'effet produit, n'existent pas à un degré suffisant. Les moyennes seules seraient donc médiocrement significatives, et il convient de reproduire les résultats individuels des épreuves.
-
I. B avaria. 0
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L'avaria. cONsommArioN
de bois -.....-_-__ par
kilo-
mètre de
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c.. 1
2 3
4 5 G
7
8 9
10 11
12
kilom.
atm,
16,39 18,21 17,68 17,30 18,66 19,27 16,77 17,22 18,36 16,92 16,96 16,92
tonnes.
tonnes.
7,05 6,85
171 172 172 172
369 413
17,55
6,85 6,85 7,00 7,05 6.80
173 173
400 393 426 410 420 431 459 423
par
tonne brutemétre.
kilog.
kilog. 0,97 0,76 0,90 0,74
191
418 425
154
6,49
140
0,90 0,84 0,80 0,81 0,82 0,82 0,81 0,73
6,88
181
418
149
0,825
7,00 7,00 6,70
190
190 188 188 190
.
5.1. ., `I' E:E. ,.,,,_>
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.
k kilo-
train. 167 131 154 127 154 145 150 154 154 154
0.7
2,21 3,15
2,60 3,09 2.76 3,01 2,80 2,80 2,98
2,74 2,71 3,01
2,82
Le programme admettait, pour simplifier la comparaison des résultats numériques, la proportionnalité du travail de la machine dans l'unité de temps, au produit