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EXPLICATION DES PLANCHES.

EXPLICATION DES PLANCHES.

et indépendants (le la flexion des ressorts. Le chauffeur imprime, au moyen de la double manivelle e, e (Pl. VIII et Pl. IX, fig. 2), tin mouvement de rotation à l'arbre C. dont la section est proportionnée à sa

rleaines, en face d'une autre difficulté, celle d'utiliser l'adhérence du train mobile : difficulté si imparfaitement résolue dans la Bavaria. L'application des cylindres aux deux trains articulés n'est donc , en

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grande longueur et à l'effort de torsion auquel il est soumis. Cet arbre est terminé par une vis sans fin , en prise avec le secteur denté ri. Le levier

dépit de quelques mitiques superficielles, que la conséquence logique de l'impossibilité pratique des autres systèmes.

la bielle pendante i, la manivelle courbe et les manivelles droites calées sur l'arbre X, (Pl. IX, fig. 2) et les bielles p., p., p., p., arcondé 119 ,

ticulées sur les plates-bandes auxquelles les sabots sont boulonnés, com-

plètent la transmission du mouvement jusqu'à ceux-ci. De ces quatre bielles, les deux longues travaillent par extension, et les deux courtes par compression.

Ce frein ne compensant pas les inégalités d'usure des sabots, exige un entretien soigné. On conçoit d'ailleurs que l'élasticité de la longue tringle i, combinée avec un peu de jeu à ses deux articulations, suffit pour que les déplacements relatifs du système des sabots, d'une part, et du levier coudé mO, de l'autre, s'opèrent en toute liberté.

On voit, en définitive que si la Seraing est un peu compliquée, sa: à

constitution robuste , l'entente judicieuse, de tous ses détails, rachètent, et au delà, cette complication. Dans l'opinion de quelques ingénieurs, les constructeurs de la Seraing et de la IVeustatlt se sont donne beaucoup de peine pour combiner une machine double simplement équivalente, ou peu s'en faut, à l'ensemble de deux machines à quatre roues supérieure d'une part, à cause de l'économie du personnel de traction mais inférieure de l'autre, puisqu'elle ne peut pas se dédoubler. Cette critique, Dit-elle fondée, n'atteindrait pas les constructeurs, liés par les conditions du programme : elle s'adresse à l'administration et à l'importance qu'elle a attachée à l'unité du moteur. Cette importance est fa-

PI. X. Exploitation de la houille ci Commentry. Fig. 1, 2, 3. Introduction des remblais Ftg. 4 et 5. Wagon souterrain Fig. 6 et 7. Platelage en tôle pour accrochages des remblais et du charbon Fig. 8. Platelage de croisement. . Fig. 10, 11 et 12. Charpente à molettes et wagons plats.

Pages.

455 et suiv. 459 463 464 466

t

Fig. 13, 14 et 15. Plan et coupes de la recette.. Fig. 16. Tracé de la grande couche

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Pl. Xl. Même sujet. Fig. 1. Câble plat, avec fléau et chaines de suspension

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Fig. 2 et 3. Plan et élévation d'un bâtiment pour machines d'extraction de 25 chevaux. . . . Fig. 4 et 5. Accrochage ouvert dans des schistes

480 et 485

houillers très-tendres.

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cile à justifier 1. La faculté du dédoublement serait insignifiante : il n'y aurait jamais lien d'en user, car une machine de puissance moitié moindre que la Seraing et la 1Veustadt serait insuffisante, même dans les circonstances les plus favorables .La traction serait donc constamment grevée

Fig. 6 et 7. Tonnes à eau Fig. 8. Soupape de vidange en fonte Fig. 9 et 10. Wagon à eau. Fig. 11 et 12. Recette à eau Fig. 13 et 14. Réservoir.

d'une double dépense de personnel.

Fig. lb et 16. Brancards en fer pour les bennes

2' Il serait d'ailleurs impossible de faire porter sur quatre roues nue

souterraines

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machine d'une puissance égale à la moitié de celle des machines spéciales 'FI

à huit roues, sans exagérer beaucoup les porte-à-faux de la chaudière, ou sans excéder notablement, pour l'écartement des essieux parallèles, la limite imposé par la petitesse du rayon des courbes. Pour accomplir, avec les locomotives à essieux fixes, le travail exécuté par la Seraing ou par la Neustadt sur un semblable tracé, il faudrait atteler, ensemble trois au moins de ces machines, à moins de sacrifier leurs proportions, de leur donner un diamètre et un; foyer exagérés, eu égard à leur longueur nécessairement très-faible. En remplaçant l'un des essieux fixes par un train articuléà quatre roues, la longueur et la puissance de la machine cessent, il est vrai, d'être litMtees : l'exemple de la Bavaria prouve qu'on peut obtenir d'une machine américaine du type ordinaire, une puissance dynamique égale, supérieure même à celle de la Seraing. Mais on se trouve, avec les machines ante-

FIN DU TOME PREMIER.

Paris.

Imprimé par E. TiturvoT et Cc, as, rue Racine.