Annales des Mines (1852, série 5, volume 2)
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Aucliii: A kiRGIIÀUFFÉ .
prime au moyen d'Une ouipd à bras de io euees dé diamètre l'air dtf. réservoir A jiràqii'à ce que la pression ce-t air soit de '6 livres par pouce quarre; l'Opération ne dure pas plus de deux minutes. On &ivre alors la
DE M. ERICS§D&.
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soupape G; l'air coinprirrié du réservoir A s'en échappe,
il pénètre dans le régénérateur, s'y échauffe et détermine le mouveinent ascensiemiel des pistons É et C., liés l'un à l'autre, comme il a été dit, par les tiges métalliques A'. Cependant les soupapes e2 sont fermées par la pression qu'exerce sur elles l'air contenu dans le cylindre B; la pression de cet air ouvre au contraire les sotiPapeS c' et, le réservoir A reçoit ainsi tin ritfuvel approi,iioiinement d'air. Quand les pistons approchent de l'extrémité de leur coursé, la soupape G se ferme, et, quand cette course est terminée, la soupape s'ouvre. L'air dilaté qui remplit le cylindre inférieur se trouve, par le conduit X, en communication avec l'air atmosphérique; un équilibre de pression ne tarde point à S'établir et les pistons se mettent alors à descendre par la seule action dé leu: poids; ils pèsent ensemble enviren 5. 000 livrés. L'air chassé du cylindre D traverse le régénérateur et y laisse la -chaleur, qu'il y
avait empruntée à un premier passage. Pendant ce
temps les soupapes e" sont ouvertes, les soupapes c' fermées et le cylindre d'approvisionnement se remplit d'air à la pression de l'atmosphère. Une nouvelle série d'opérations identiques aux premières commence : la soupape H se ferme par le jeu même de la machine ; la soupape G .S'OtiVrê de la même manière. L'air fourni au réservoir A du cylindre B par édiauffe , les soupapes c' franchit le régénératerir, qui, dans sa Coufse asse dilate et soulève le piston E censionnelle , entraîne le piston C. L'air qui réfriplissait
le cylindre B passe alors dans le réservoir À. La sou-
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pape sè Èèfilie, la slitIpape H s'ouvre, le piston É rétombe et avec lui le piston C. Un notivel approVisiontiement d'air froid se fait dans le Cylindre B; pelletant que
l'air éhatid dit cylindre Li eSt tenvoyé de cé dernier -cylindré et traverse le régénérateur, où il laisse son calotique. Ce médatilSine eSt d'Une ektrênie
te lluld.é pat l'intermédiaite duquel le calorique agit est puisé dans l'atmosphère. Les cylindres justenierit hbniftiéédtipphitii.§ionliairéni se reMplissëlit d'air chaque
fois que les pistons redescendent, et quand les pistons s'éleent Cet air §St comprimé dei§ le r6sèrVoit d'où il se tend dans les Cylindre§ dé l'Édtdil. ta capatité ap= pro-idtiiatire de l'un dé CeS derniers est de 5 pieds CubeS; celle dé l'un des cylindre§ d'approvisibririement est de 57 eriVirdin L'air froid des seconds ne remplirait delle que les deux tiers dé la Capacité des premiers. Mais il est porté à line tempéfatttre dé 48o degrés (Fah-
renheit) et soli volume est doublé par cet échauffement. Or là surface des pistons de travail est à celle des pistons d'approvisiennement dans le rapport de 5 à ; il S'ensuit que la forée qui tend à déterminer lé mouvement l'emporte Sut là réSistancé d'un nombre
de livrés égal au produit de cette différence entre les surthees des piStons , èxptimée en potièeS (marrés, pat le chiffre de la pression, supposée égale de part et d'autre sur chaque pouce quarré , c'est-à-dire en Virbri 12 litres. Cet excédant de force est assez Considérable pour qu'une ouverture pratiquée à dessein. eh Y n'ait pas gêné la marche de l'appareil ; Son S'exerce avec une grande régularité : il est évident d'ailleurs que cette action une fois commencée ne Sautait être suspendue, aussi longtemps que l'air froid du rèserviffir Centinue à être Ode à rine température doiit