Annales des Mines (1853, série 5, volume 3)
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EXPLICATION DES PLANCHES.
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Trois orifices pratiqués dans la voûte de chaque four pour compléter la charge de bois, lorsque la partie inférieure de la chambre b est remplie. Foyers au nombre de deux pour chaque chambre, où l'on brûle du bois pour produire la chaleur nécessaire à l'opération. e Portes fermant en partie les foyers, et laissant entrer constamment un excès d'air. e2 Maçonnerie entourant les foyers et occupant toute la largeur de la chambre. 0 Ouvreaux pratiqués dans la maçonnerie 0, par lesquels les gaz brûlés du foyer débouchent dans l'espace vide d. d Espace vide compris entre le sol et le grillage /il 0 qui supporte la charge de bois; les gaz brûlés s'y refroidissent par contact et par b5
EXPLICATION DES PLANCHES DU TOME TROISIÈME.
Pages.
PL. I. PL. II.
THÉORIE DE LA COULISSE DE STEPHENSON
rayonnement jusqu'à la température où ils peuvent s'élever
CARTE DE LA RÉGION AURIFÈRE DU SUDEST DE L'AUS-
dans le ligneux sans l'altérer ou l'embraser. Trois paires d'ouvreaux ménagés dans la maçonnerie, par lesquels
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TRALIE.
Même planche
FIG. 1 à 10. Application des forces apparentes dans les mouvements relatifs et l'étude des phénomènes terrestres Fia. 11.
PL. III. PL. IV.
Stabilité des machines locomotives.
DIX SPÉCIMENS DE ROCHES DES VOSGES.
Roches des Vosges
Fia. 5 à 30. Extraits de minéralogie (travaux de 1851) Formes cristallines du cuivre gris de Fia. Sl'à 35. Houzaïa PL. V.
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Fm. 4 à 7.
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MINÉRALOGIE.
FIG. 1 à 4.
sortent les gaz brûlés qui, après s'être refroidis en circulant dans les vides de la charge de bois 0 , sont redescendus sur le sol de l'espace vide d. Toit ou halle recouvrant le massif des quatre fours.
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APPAREILS CONCERNANT LA PRÉPARATION DU LIGNEUX.
Série de fours réunis par paires, sous une même halle. Bois remplissant toute la chambre à ligneux, sauf l'espace lit. bi Espace vide réservé entre la charge de bois d'une part, et de l'autre le poêle d et les tuyaux dl, pour prévenir toute chance de torréfaction du bois contigu à ces foyers de chaleur. a b
0 Deux portes en tôle pour le chargement du bois et la reprise du ligneux : la vapeur qui se dégage du bois se condense en partie
Fia. 1 à 3. Four à ligneux de Lippiteach en Carinthie. [Consulter, outre la présente explication, le texte (10)7.
Ensemble de quatre fours ( grand modèle ) réunis sous un même toit f. Espace où l'on charge le bois à dessécher, ou chambre à ligneux. bi Poutres scellées par leurs extrémités, soutenues en partie par la maçonnerie du foyer, supportant les poutrelles 0 et toute la
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charge de bois 10.
0 Poutrelles de bois mobiles, placées transversalement sur les poutres 0, espacées dans chaque cas ainsi qu'il convient pour recevoir la charge de bois b3. ba Bois à convertir en ligneux. b, Portes par lesquelles on introduit dans la chambre à ligneux b, la majeure partie de la charge de bois, et par laquelle on retire le ligneux.
Four à ligneux de Neuberg en Styrie.
[Consulter, outre la présente explication, le texte (sa)].
à proximité des portes, et l'eau qui en provient s'écoule au dehors ; le reste sort par les petites fissures de la garniture en argile placée sur le pourtour de ces mêmes portes. Foyer où l'on produit la chaleur nécessaire à l'opération. On brûle à Neuberg des escarbilles de combustible minéral que l'on peut se procurer sans frais. Ce foyer avait une disposition différente lorsqu'on y brûlait du bois. et Grille horizontale du foyer à barreaux très-rapprochés, en rapport avec la ténuité des fragments de combustible. Grille inclinée du foyer, composée de larges barreaux disposés en escalier pour faciliter l'accès de l'air dans la masse de combusc
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tible pulvérulent. Le combustible se charge par-dess us le barreau supérieur. Cendriers réunis deux à deux par une grande fosse placée entre deux fours.