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l3ULLETIN.

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BULLETIN.

qu'ils peuvent être utilement exploités par des compagnies qui auraient des fonds suffisants pour améliorer le mode d'exploitation et les moyens de transport. Quant à la propriété de ces

terrains, elle pourra être l'objet d'une contestation entre les gouvernements de la Grande-Bretagne et de Vénézuela. La dé-

marcation des limites qui séparent la Guyane anglaise de la province Vénézuélienne du même nom n'a pas encore été fixée

d'un commun accord, et il est à craindre que cette opération ne rencontre aujourd'hui de sérieuses difficultés. Le gouvernement de Caracas paraît, d'ailleurs; disposé à agir avec une grande prudence vis-à-vis de ses puissants voisins.

(Extrait d'une dépêche adressée à M. le Ministre des affaires étrangères par M. Léonce LEVRAUD, consul

général de France au Fénézuela, le 15 novembre 1857).

Note sur des expériences relatives aux moyens d'absorber la fumée de la houille. LI y a quelque temps déjà, la société des propriétaires de mines de houille, offrit à Newcastle une prime de 5ôo liv. st. à celui qui trouverait la meilleure méthode d'absorber la fumée, pendant la combustion du charbon. Deux ingénieurs civils, MM. Lont,,ridge et Amstrong , ainsi que le docteur Ilichardson , chimiste, furent désignés par la société pour commencer une suite d'expériences à l'effet d'élucider le problème. Or, dans le cours de leurs nombreuses expériences, à l'une desquells ils ont bien voulu m'appeler, les

trois savants ont été amenés à constater que le charbon de Hartley peut être consumé dans la chaudière multitubulaire,

certain que les charbons de Newcastle ne tarderont pas à être choisis par le gouvernement de préférence à ceux dà pays de Galles.

Cette question sera probablement, avant peu, soumise à la décision du parlement. (Extrait d't,ne dépêche adressée à S. Exc. le ministre des affaires étrangères par M. le comte de MARICOÛRT, consul de France à Newcastle.)

Mines de fer des Étais - Unis (1). Les Annales des Mines ont déjà publié divers documents sur les mines de fer et sur la fabrication du fer aux États-Unis ; on peut consulter notamment les rapports de Sir Charles Lyell de J. Hall et de M. le professeur John Wilson (Annales des mines, 5 série, t. VI, p. i, et t. VIII, p. 616). Mais cet important sujet est loin d'être épuisé, et nous allons donner ici un extrait d'un ouvrage très-intéressant de M. Whitney (Metallic Wealth 0f the United States, p. 1i57). Pour que l'on puisse comprendre facilement les relations de gisement des différents minerais, il sera bon de jeter les yeux

sur la carte géologique des États-Unis, qui a été publiée par M. J. Marcou (Annates des mines, 5' série, t. VII, Pl. IX Le développement que prend la fabrication du fer dans un pays dépend d'une foule de circonstances très - complexes Il ne suffit pas, en effet, qu'on trouve en abondance du minerai de fer de bonne qualité ; il faut encore qu'on puisse se procurer du combustible et des fondants ; il faut aussi que les communications soient faciles et la main-d'oeuvre suffisamment éco-

nomique. Les tarifs adoptés et les droits protecteurs ont

ordinairement employée par la marine, sans produire la moindre fumée, et que ce charbon qui, dans les rapports de l'ami-

(1) Afin de faciliter au lecteur l'intelligence des données statistiques que renferme cet extrait, nous mettons sous ses yeux, d'après l'Annuaire des longitudes, la valeur clos monnaies, des poids et des mesures qui sont

ratite , est représenté comme vaporisant environ 7 livres d'eau pour une livre de combustible, est capable, au contraire, d'en vaporiser ce livres 14.

employés aux États-Unis.

Cette différence est énorme, et s'il devient manifeste, comme j'ai tout lieu de le croire, que l'erreur est du côté de MM. Play-

fair et Henri de la Bêche, auteurs des rapports officiels qui seuls., jusqu'ici, ont servi de base à l'amirauté pour fixer ses choix dans l'approvisionnement de ses navires à vapeur, il est

Le dollar, qu'on désigne par 8, vaut Un centième de dollar s'appelle cent. Le pied anglais Le yard Le mille Le boisseau (Bushel)

La livre troy impériale La livre (avoirdupoids) La tonne

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t, la 0',3018 0,9144 609" 30%346

373,,226 453,,57 1 016 kilogrammes.