Annales des Mines (1861, série 5, volume 20)
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CONSIDÉRÉE AU POINT DE VUE MÉCANIQUE. DE LA CHALEUR.
54G
Le coefficient d'effet utile représenté par les chiffres grand de la troisième colonne sera donc d'autant plus plus considéque la température du corps chaud sera rable. Ainsi, sous le point de vue actuel, il y aurait haute avantage à employer des machines à vapeur à
Relations entre les différents éléments calorifiques
pression. Mais nous reviendrons plus loin sur l'apà plication des principes précédents aux machines vapeur. et En groupant les formules obtenues plus haut, conservant leurs numéros, on a: C
C
7-=
d'un corps, quelle qu'en soit
v
dp
la nature.
-11'71-t
L'élimination de / entre (5) et (4) et entre (4) et (5) conduit aux relations c
(1())
d-
(.
dp
d -1
A dt= dv.
v
c')
(if)o=
A cil
et donnera la loi de variation de la pression avec la température. L'extension donnée par M. Reech aux principes de S. Carnot et de M. Joule est basée sur le raisonnement suivant Soient T le travail moteur résultant de l'emprunt de
à l'emprunt de la quantité de chaleur Q', à, B' et au versement de Q, > Q,' dans A. En opérant n fois de la première manière et n, fois de la seconde, il en résulte un excès de travail moteur égal à
et de B
nQ nei
On peut supposer que Q`, Q sont choisis de manière
à se trouver représentés par des nombres entiers, et comme n, n, sont des nombres entiers quelconques, on peut conduire les opérations de telle sorte que B n'éprouve ni perte ni gain de chaleur, ou que
et pour les gaz où z est négligeable A (c
dt
di
De A on a fait sortir la quantité de chaleur
C
Zr=
dp
nT niTi.
On a aussi (n08)
P
devient
dcf
La première donne une relation entre les deux chaleurs spécifiques, la seconde fournira par une intégrala tion lorsque nous aurons déterminé la fonction 1i., volume constant, lorsloi de la chaleur spécifique sous qu'on fait varier le volume.
(1,5)
constitution physique, on a =0 et l'équation (II)
do
dt di
(12)
Dans le cas général où le corps ne peut pas éprouver dans des limites déterminées de modification dans sa
la quantité de chaleur Q au corps A à la température I, Q' la quantité de chaleur correspondante versée dans la source B à la température T, le travail résistant dû
dc'
dp
dl
547
A dp
dt
nernV =
14. Théorie
de M. Ileecti.