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ÉTAT PRÉSENT DE LA MÉTALLURGIE DU FER

des éléments aussi disjoints soient rapprochés, amenés en contact, le fer est déjà trop froid pour qu'il y ait agglomé-

EN ANGLETERRE.

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Finissage des rails de qualité ordinaire.

ration même partielle des mises. Ou bien l'on est dans l'obligation de donner une seconde chaude, qui dessèche le fer outre mesure et rend les couvertes d'un emploi ultérieur moins avantageux. Il est à peine nécessaire d'ajouter que les vides circonscrits qu'offrent les sections 17, 18 et 19 sont autant de poches où le fer s'oxide abondamment et les scories demeurent trop étroitement enfermées. La trousse fig. 21 , toute en fer puddlé, à largets bien as-

Modes de paquetage pour rails ordinaires. Nous avons représenté par les fig. t à 13 de la Pl. Viles modes de pa-

quetage pour rails ordinaires. Les parties hachées in-

Si le laminage peut atteindre ce résultat, c'est avec des paquets comme ce dernier où toute la section est réellement pleine, sur lequels agit efficacement la pression des cylindres dèsla première cannelure. A quoi bon, dans les autres, accroître les dimensions transvel sales, si d'avance on annule les effets des fortes pressions qu'elles semble-

diquent le fer ballé ; les mises horizontales qu'on distingue au milieu des paquets 2 et 3, sont des bouts ou rebuts de couvertes. Les fig. i à 9 se rapportent à des rails à patins et la fig. 10 à des rails à double champignon du modèle indiqué dans le paquet. Les fig. 12 et 13 représentent enfin les plus petites trousses usitées en Galles. Ces divers paquets correspondent à des rails finis pesant généralement de 65 à 7o liv. le yard, c'est-à-dire 33 à 35 kil. le mètre courant. Proportion de fer ballé et de fer brut. Les proportions de fer ballé varient de 1/5 à 1/5 ; elles descendent même rarement à 1/5. Le plus souvent, à moins de prescriptions spéciales des consommateurs, les maîtres de forge adoptent 1/4 de corroyé contre 5/4 de brut.

raient annoncer? Jusqu'ici Inconvénients de l'hétérogénéité des mises. l'hétérogénéité des fers nous n'ayons pas terni compte de assemblés dans les paquets 17 à 20. Mais si, comme nous l'avons fait voir précédemment (I" section de la troisième

Mode de répartition du fer ballé dans les paquets. Quant à la répartition du fer ballé, elle est, on le voit,

assez uniforme ; les couvertes enveloppent les haires puddlées sur tous les points d'un laminage difficile, c'est-à-dire dans les régions du boudin et des ailes du patin. On inter-

partie) le laminoir ne produit souvent qu'un faisceau de

rompt cette enveloppe sur la largeur de la base et vers la mi-hauteur des joues, non-seulement pour économiser du ballage, mais encore pour faciliter la compression directe des puddled-bars et l'écoulement des abondantes scories qu'y laisse le cinglage insuffisant des squeezers. En raison de sa faible compacité, c'est sur ce fer brut que se porte d'abord tout l'effet des cannelures du blooming, de façon

sis, bien jointifs, répond beaucoup mieux que les précédentes au but qu'on doit se proposer dans le ballage pour couvertes ; l'obtention de plaques denses, homogènes et propres.

lames à peine liées entre elles, avec des paquets comme celui de la fig. 21, combien n'est-ce pas plus à craindre avec les premiers? Un dernier point serait à étudier au sujet des couvertes pour ballage ; c'est l'épaisseur qu'il convient de leur donner; nous allons en parler au sujet des paquets à rails.

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qu'immédiatement après le soudage, les parties horizontales

et verticales de fer corroyé se sont déjà rejointes. Le fer brut est dès lors emboîté, sur trois faces au moins, par les