Révisions de la page | Historique de transcription | Annales des Mines (1864, série 6, volume 6)

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AGGLomÉlàïid rhiSCô:UBn.STIntU'Ïlfià1-Ank;

tlin*fu' on opère au brai gras. L'eau mêlée au charhoWeerereùrseli majeure partie expulsée de nouveanTarla pressie e éprouve la briquette 'dans le moule ; mais la 'présence 4è ,e,ette eau semble faciliter la compression' en 'faVeriSarit le

'liement des particules de houille. Si le charbon n'était pas préalablement chauffé, le brai gras se figerait à son con= tact, le malaxage serait plus difficile et la pâte ne devieriL -i130 de drait liante qu'en y Mêlant au delà d&8 chauffant et 'Malaxant est même' évident qu'en en pourrait réduire la proportion de brai. mienpâte Lorsqu'on fait usage de brai sec, la préparation de .1>a pâte se compose de deux opérations le broyage du

et le malaxage proprement dit. Le broyage du brai n'offre aucune difficulté, pourvu-que la température de l'air soit peu élevée et le brai suffisamment concentré. On se sert en général d'un broyeur conique en fonte, établi d'après lé principe des moulins à café. Parfois, comme à la Grand', Combe, les fragments de brai passent encore, au sore de là, entre deux cylindres horizontaux à surfaces unies.1Poin obtenir un mélange de brai et de bouille à proportions fixes, on a recours à un appareil mélangeur d'origine air-1 glaise (1. Il se compose de deux trémies contiguës, gale grandeur; la plus petite reçoit le brai en potidre,,,la plus grande, la houille menue. Chactine des trémies est fer= mée dans le bas par un distributeur horizontal à hélice, dont les dimensions et la vitesse sont calculées de façon qùe le plus petit laisse passer dix à douze fois Moins de Matière que le grand. Le brai et le charbon provenant' de ces, distributeurs passent encore ensemble entre deux cylindres broyeurs de o,5o à o,60 de diamètre. De là les deux matières mélangées arrivent, soit directement, soit à raide d'une chaîne à godets, au malaxeur propromentiditb Cet appareil est semblable à celui de la machine N-ritrd,

AG.GI.OMellATION ,DES COMffl'I'IBLES MINÉRAUX.

sice ne3t que le cylindre est plus grand, et que la vapeur ." S' Cq.V.»,qirectemen,.. clp, l'spacapnulaire, par ,plusieu"r.% ,

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orifices, au ,milieu de la masse à, agglomé,rer. Pour douze à. i , quinze tonnes ,à. malaxer par heure, on donne au cylindre, (dans la machine Mazeline), uni'.volume de 2 mètres cubel,.1 i., ' ,,,,,, soit 12 mètres -de bauteur, sur im,,io à im,13 de diamètre. .,, . ,Ç 1

Mais il est bien évident que ces dimen,sions soni, insu ffisantes. - : .

,yoltune du malaxeur, la matière n'y reste pas î 411. ,14k, 4p. sb,(à sept minuees, -et parfois seulement quatre cinq; ôr, dans ce ,91.7.11 espace de temps, il est tout à J'ait impossible que le brai suit suffisamment ramolli et intime-1 naRntluélangeauiCharbon réchauffé. De là vient que, pour obtenir des, produits convenables, il faut atteindre, dans la. -,,)1 I

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pIpa,rtdc usines, la proportion exagérée de o p.. ciel le 'est là, comme dans les fabriques au brai gras, brel. 9,r} grand.défaut.,des méthodes suivies. Toute l'attention de inyenteurs a été portée,sur les machines à comprinier, ' idnr cis qu on a, négligé les appareils de chauffage et de

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laxage; et cependant eest de la proportion plus ou moinS considérable de brai que dépend surtout le prix de revient. " me semble que la sILL, olution véritable du problème, serait une température pins élevée du mélange, due à, reinploiYt' biep entendu de là vapeur surchauffée. Il faudrait ,de plus len, obtenir un mélange intime du brai, prolonger le sé-, jour 'dès matières dans le malaxeur, etpar, suite en ks denter imensions. Mais alors,pour ne, pa.S ,ccroître, m outre ineei.tre la résistance, die au brassa,ge.cle, ete, faudrait se servir pfutot de cylindres couches, conveo.able5fM ment chauffes, que de Ulalaxeurs,verticaux. Il faut, en >un.

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Exter apia et' aux tourbes,,,, plue en Allemagne aux lignites teti,.enk sYt&ne dont nous dirons quelques Mots" à la' fin de 'cette'd n0):::.cherche'i

Iorsqii'en"a'recours au brai sec, faut que la pâte possède, en arrivant aux moules, une température, de 8o à o degrés. nbte.' DanS' t'eus

(*) mélnoirti de M. Gérondeau, page 55,

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