Annales des Mines (1865, série 6, volume 8)
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VÉHICULES DE CHEMINS DE FER.
plans XY (1) et (2), nous donnent facilement les valeurs. correspondantes de P, P', P" et P'll. Mais il serait plus commode que les deux longueurs GI et GK, au lieu d'avoir une même origine G, fussent distinctes. Pour cela, au lieu de considérer le plan (2), considérons le plan dont l'équation est pH p Q__(p +pr), (5)
cette équation (qui, du reste, n'est autre chose que l'une des équations d'équilibre) étant obtenue en ajoutant ensemble les deux équations (1) et (2). Soit Ii le point où la droite GL rencontre ce plan (3) (fig. 8). On aura mais GI
PH- I",
Désignons par P" Po et Po les valeurs de P", P' et P correspondantes. On a
Q (1'+Ud) Po'=-
1+1'
1+1'+1" Prenons OA = P'0, OC = Po et OB = P"o. Joignons AC et AB. Ces deux lignes représentent les traces du plan (1) sur les plans de projection. Représentons de même le plan (3). Si dans l'équation de ce plan nous faisons successivement
=
et
P=o
et
O
et
Donc les plans XY (1) et (5) coupent la droite GL en deux parties qui représentent les valeurs de P'` et P" corresponLa considération des deux plans (1) et (5) et d'une droite quelconque GL parallèle à OZ permet donc de déterminer facilement les quatre valeurs correspondantes des charges P, P', P" et P" sur les quatre essieux.
Q
Q(1'+1"d)
P", donc
dant aux valeurs de P et de P'.
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RÉPARTITION DE' LA CHARGE SUR LES ESSIEUX.
P_
= o, P"== o.
nous trouvons pour les valeurs correspondantes de P" P' et P
Pi =Q.
Indiquons maintenant comment on peut exécuter l'épure. Soient OX, OY et OZ les trois axes coordonnés (fig. 9). Prenons OX pour ligne de terre. Il s'agit de représenter les deux plans (1) et (5). Représentons le plan (1). Pour cela, faisons succesivenient dans l'équation de ce plan
P=o
et
P-=-o
et el
P'=0
OE = OT = Q et joignons DE et Prenons donc OD DT. Ces droites seront les traces du plan (3) sur les plans de projection.
On voit donc que la représentation des deux plans (1) et (5) s'obtiendra toujours très-simplement. Soit maintenant g, gila' la droite quelconque que nous considérons. On obtiendra par les procédés graphiques ordinaires les points (g,i' Ott) de rencontre de cette droite avec les deux plans BAC, TDE, de telle sorte que les vaTOME VIII, 1865.
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