Statistique géologique, minéralogique, minéralurgique et paléontologique du département de la Meuse.- Paris : Baillière, 1852. LII-694 p., 22 cm.
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564 14. Roche'rose, oolithique, à très-petits grains par. faitement ronds ; elle se sépare en bancs de 0,05 à 0,06 d'épaisseur. A. Terre végétale marneuse ou mêlée de terre blanche, très-légère, employée à la fabrication de la chaux hydraulique artificielle. B . Gravier. On remarque dans cette coupe que les assises ont leur plus grande épaisseur entre les puits n° 10 et n° 1 1 . Quk partir du n° 11 elles s'amincissent et s'abaissent irrégulièrement de chaque côté vers les versants. On voit dans les tranchées, et plus particulièrement dans celle de Mauvage, que les couches sont repMes et contournées suivant des lignes courbes irrégulières. Il en est probablement de même entre les différents puits, de sorte que les lignes qui joignent entre eux les affleurements des différentes assises, dans chacun de ces puits, doivent être considérées , non pas comme le profil exact de ces assises, mais¥seulement comme en représentant la disposition générale. L'irrégularité est cependant plus grande au pied des versants où s'entassent les matières qui ont reflué de l'intérieur de la colline. L'affaissement des assises argileuses sous le poids des assises supérieures n'est pas particulier aux deux loiMités que nous venons de citer, ni même à la formation qui nous occupe. Il a déjà été indiqué (p. 106) dans des terrains plus anciens où on en des environs observe presque journellement les progrès. Lestrande Bar. chées du chemin de fer, dans la vallée de FOrnain, le montrent, en amont de Bar, dans les marnes kimmeridiennes, et en aval, dans les argiles à gryphées
