Annales des Mines (1870, série 6, volume 17)
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DE FONDS PLATS ET BOMBÉS.
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CALCUL DES ÉPAISSEURS
Mais dans l'aire ctecif se développe l'action moléculaire tangentielle
en désignant par G, la valeur de G du numéro précédent correspondant à x =1. Comme les deux forces doivent se faire équilibre, il faut que y,)e,
on trouvera sans peine la valeur de s et enfin, on déterminera les conditions de résistance du corps cylindrique et des fonds plats, avec la même facilité que pour les pièces prisma-
eROG,,
E (s
515
eRG,
tiques. Nous n'écrirons pas ces différentes formules en raison de leur complication ; l'essentiel pour nous était de montrer comment on peut assurer à une solution complète du problème que nous nous sommes proposé du moins dans un cas particulier intéressant.
o,
ou en vertu de l'équation (5) du ne (5)
- 3)
NOTE RELATIVE A QUELQUES EXPÉRIENCES
((141j
ou e'
e-"1- 2 sin kl) - s sin kl
A(e'il
7 12 VITe
P-11'
Ee
SUR
sin kl
LA RÉSISTANCE DES PLAQUES MINCES CIRCULAIRES.
p112
Ee
cos kl)+ zoos kl
acosk/),
A (e"
ou enfin (17)PRO(e Ee
+A (
(1
cosk/)
e'sink/
e,(e"F 2
e'sinkl
_)+E(eicosk1+
Via. /Re, cos ici)
M. Guillemin, directeur de l'atelier de construction de Casamène, a bien voulu se prêter à quelques essais sur la rupture par la pompe de pression de plaques minces en tôle de forme circulaire.
Vi2VRe
_(e'iee 2 sin kl) V la VRe e2
,
.
Des équations (16) et (17) on tire Ec A
ei(e'l
12 vRe
e-11-1- 2 cos hl)
aesinkl
,
12 IRe (') Si on suppose / =. oc, on a A 0, ce qui devait être les conditions relatives aux limites, n'ayant plus d'influenCe.
L'encastrement (fig. qui avait 0..50 de diamètre était produit par une couronne en fer forgé de 65 millimètres de largeur boulonnée sur une couronne de même largeur, renforçant l'ouverture d'un vase en très-forte tôle. Les boulons étaient aussi rapprochés que possible, en vue de réduire à peu de chose l'ovalisation des trous correspondants de la plaque de la tôle soumise à l'expérience; deux rondelles de cuir formaient la garniture. Pour indiquer les pressions, nous avons employé le manomètre étalon du système Bourdon, muni d'un ingénieux petit appareil, dit à M. Minary, et qui permettait de maintenir fixe la position de l'aiguille lorsqu'on arrivait à une pression quelconque (*). (*) Le manomètre était placé la naissance du tuyau de conduite de la pompe au vase. L'eau, au lieu d'arriver directement au manomètre (fig. 5), se