Révisions de la page | Historique de transcription | Esquisse agro-géologique, hydrologique statistique et itinéraire du département de Tarn-et-Garonne par M. Rey-Lescure.- Paris : Savy, 1874-1875. 152 p., 22 cm, 2 planches de coupes (22 x 60 cm).

Esquisse agro-géologique, hydrologique statistique et itinéraire du département de Tarn-et-Garonne par M. Rey-Lescure.- Paris : Savy, 1874-1875. 152 p., 22 cm, 2 planches de coupes (22 x 60 cm).

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.3) N . O . de Caylus, les phosphatieres nombreuses des Espiémonts ou de Mége, de Périnette et surtout de Mouiilac, plus loin celles de Pendaré, de Malpérié, de la Mandine entre Lassalle et Lavaurette. A gauche de la route, celles de Cos et celle de Servanac ou de Raynal, (altitude 302°'). Cette dernière est aujourd'hui l'une des plus profondes et des plus vastes, environ 33 m de plus grande profondeur, 8 à i 0 m de largeur, 30 m de longueur à ciel ouvert, 4.0 à 30 m en galeries : elle est orien tée à peu près N . O. -S. B . Vers le milieu . de sa longueur elle fait avec la première direction un coude d'environ 10° S. S. O. 1I

Altitude tertiaire maxima . — Si l'on rapporte à un plan

de niveau les témoins ou lambeaux restant en place des terrains tertiaires dénudés, en prenant pour point de départ Monpalach, petit village à 2 ou 3 kil . de Raynal (3a l m d'altitude), Lasalle (34 .6), Lac d'Alhrespy (34.0), la Mandine (325), on trouve que presque toutes les phasphatières sont situées au dessous de ce plan vers l'altitude moyenne de

300 mètres.

Niveau moyen du Bassin tertiaire . — Si l'on fait passer un second plan de niveau moyen d'après les cartes de l'état major, à cette altitude aproximative, ou voit la courbe de niveau toucher successivement Lavaurette (311), Mont alzat, et Montpezat (300), Brian du Causse près Bruniquel (303), L'hospitalet du coté de Cahors et de Cienrac (302), Bach (319), Cordes (Tarn) (307), Lautrec (302), les environs rl'Issel et de Castelnaudary (300 ` , Pujaudran près Toulouse (302), Cox près Beaumont (293), Castelnau de Montratier (28)) et l'on reconstitue ainsi un ou plusieurs plateaux élevés dont ces points sont les témoins généraux, soit comme restes d'érosions, soit comme plans étagés des diverses zones sédimentaires dans les eaux du bassin ou des bassins tertiaires . On peut ainsi reconnaître les analogies de compo-