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REVUE DE QEOLOGIE.

.trovent à la base_d'un sable-à limnées qui surmonte-immédiate', Ment les sables rfflins de Fontainebleau ; de plus, les vertébrés de la Ferté-Aleps sont identiques avec plusieurs espèces des déi pôts miocènes de l'Allier et de l'Auvergne. IL

Fiore fossile de ,Rqueon.

M. Marion (1) a étudié la sile des calcaires lacustres de Ronzon : cette fibre, qui flore foscomprend -,, 1,6 espèces, a un ca:raetère tropical et correspond à une teMPérature moyenne d'environ 23° C. Son facies est franchement africain on asiatique. Cependant une espèce, Pistacia (Lentiscus) oligocenica, se rapproche des types du littoral méditerranéen. Les végétaux à feuilles étroites et coriaces paraissent avoir dominé, au moins dans le voisinage immédiat des eaux. -

Lt9,11./V

1

Couches à Congeria de Vaucluse. er (2.)' a découvert les couches à Congeria, au château de Saint-Ferréol, près

de Bollène (Vaucluse). Ces ,couches; bien connues dat1ébassin de Vienne où elles recouvrent, leg assises' saurnâtresià cérithes, forment la transition entre le miocène supérieur '(tortonien) et le pliocène inférieur (astien). M. Mayer pense que, pendant le dépôt de l'étage sarmatique de Suess (3), la Méditerranée loin vers l'est et que cette mer, en se retirant danâ pénétrait très ses limites actuelles après le dépôt .des couches à cérithesVutilaissé, dans les

bassins du Don, du

DniéperiJduiDniester, du Dahtibeiét du 111.16he'» des mers intérieures où les assises à Congeria

se sont déposées; précédant les dépôts purement d'eau douce à Dinotherium giganteurn.

Miocène suisse. On doit.neMredür'm an n (4) uneidekFiriiikiiii' du terrain tertiaire miocènecles cantens de Berne; Lneeridê, Schw'yitP et zug. tableau .suivant résume seclassificatibtP: ,aft

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MOLLASSE MARINE.

MOLLASSE supérieure 300-600 cnèt. ) ilf01. LASSE moyenne

,350-600 rnèt» -'110 LL A OSE

Couchesi

Couches

d'Argovie. de Berne. Couches de Saint-Gall.

. 'te

,Couches, de Lucerne.

(Platten-rnollasse et gris Se4siuillier avec, couches deau d-9;YçA .1 i

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11119.L

de Napf.

uatiehes

de l'Albis.

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Couches des

HehéShonen.

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tru

Couches

d'Aarwangen.

91711

inférieure

Mollasse rouge.

-400-500 rnèt:1

,,U1) 7'10 if;

31.100k';

M. C. Mayer a joint à, l'onvrage de M:iKeuf rn an ni un tableau' complet de la faune de l'étage helvétien en Suisse et en Souabe, comprenant 740 espèces.

Lignite dllndorf,:,-r Une tranchée de chemin de fer a mis

à.,découvert , près d'Undorf en Bavière, un gisement de lignite appartenant au miocène supérieur, étage tortonien. Le lignite ii

très-variable de composition, est intercalé' dans une argile-charbonneuse. On y trouVe,,i,après M. d'Ammon (t)', des restes de chêne vert, de Mimosa,(ditschia),Potamogeton, ainsi que les

Mastodon, RhinocerositHâlmorneryx. Chelydrys, Cottus : quelques bitumineuseLecnt remplis de Planorbis, Linmea, Helix et Ancylus.

Lignites du val d'Arno. M. Stoehr (2) a étudié les dépôts de lignite du val d'Arno supérieur. Le toit des lignites est constitué par-ungArgile »ès - ri che:lertrpla rites féssiles. Les végétaux qui ont fo1me,4,port,inhe ,paraissent avoir été accumulés dans un

golfe. Quelques tropé§4arbres,sont debout4.avec leurs racines, et leur section n'est pas écrasée; mais la plupart des_troncs sont tantôt renoncouchés horizontalement et comprimés. Le bois (177.1est ert,lignterreux. La n;dssable comme structure, tantôt changé pyropissite abonde. Assez souvent l'argile qui surmonte' le lignite eerongeet devenue ,eonipacte Pe'câleination naftfrellé ; cette action est attribuée à la facile inflammabilité de la pyrOpissite. Les argiles calcinées sont beaucoup plus riches que les autres en empreintes végétales bien conservées, et c'est là que MM. Strozzi et G andin ont fait leur plus abondante récolte. Parmi les espèces Nettes Jahrb., 1072; 668. Annuario della Soc. di .Nalur. di Modena, V.

.1Yeues Jahrb., 1872; 745.