Révisions de la page | Historique de transcription | Annales des Mines (1873, série 7, volume 4)

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céder: on étudiera de préférence les terrains dont le synchronisme

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est le mieux établi sur touteXétendue, de la région à étudier. Comme

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les limites de la mer ont changé très-notablement pendant la durée si longue qui est nécessaire au dépôt d'un terrain, il con-

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viendra même de s'attacher spécialement à l'un de ses étages; on

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choisira d'ailleurs -,ceititif ,qui,Késentm-,la fous grande constance

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ils ont 'ét'é cbinPrittiÈS.'lebTellent et aussi d'ulieenière trèS-inégale par les terrains qui ies ont recouverts. Enuatiff'e de fortes ablations y ont été produites par l'atmosphère di }13Î'én

.

Pâe'làtaitiGe'ôiiràntes, tjti.iand ilsùSdeforinféSir*giles, de n"-fârne,

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mont, à restaurer, ,autantque.,possible Son sud pinntt 1uau'ài51fuo

eau-pleut) ab 01-iu):1 É

juin 1872. Comptes rendus, Lxxiv, p.1225.

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même compiétement sur les partielegMcgSceeps,inelibaées.

0s,d13-Fiviage, il est somy1euttiempu..par,,e950e' po.ii.tes;

Piliqee A.P..,été dégraeftMeent 1C,1,,,.retF1,9)*Ferf:

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5i-)9FeffeeeTaMPiq nette5liMgraMIVill9;q-'3,9-99.sieré, uge,ème (19,1 eMben 'Qtli9Ptales

14,11P,91Mig Ptie.irecAle

D?I'MARt%»MiargeefelieeiltueçrPIP se t,Figil.breMieer ele ceR.111)(a.,4se.q'e'nq',3,:e7;.4ie,(P'PAFA9RPIM? >,9M. c511re,9 Jas" surément, très-difficiles à tracer; cependant, citian'd la keOlo` gie

d'un pays a été suffisammentetudiée,An peut parvenirQiffl esquisser. La courbe ayant la mite zéro est particulièreuent inté-

1,, ;.).1.,I11,, ,-,-.

,ressante; ellefiguretep. ép'e,t1, Pptersectignf du , riiveap. de la mer ,,, uib avec la surface cluAgrxr9ai,n,oeinisuMfqu'elle,9Mnitelesrparties qui seraient actuellement .:émergée8,, quoipecleea,u, i dedll la mer. ne 1

,.

soit pas resté constant pendan.tntoutesdeléminesugéol ogives, les courbes hoxizontales

dontryîâotessepegtes montrent & ba,tueur »aiit.6 gpq lune ,,, ut mmn»n ,i,,,.eolifil,u'lii, b' 'e,)

bien '1F ',.,AdiLilnt-s' j `se I,(Ttr:OUir19 19 M y, ,C) quif,'

le amsiosep io 1,,,Ipiroc,lers,fetip,igvoiyclemfigme,ip,9. en,,ageuseenen. e les

l-ii des sopIlèvements, et,eVes terrain- a0 suM min! .9 cy 1, ,(TY, 9) 8.9n ,-, i 9Jiiii directions; Par conséreue,n,t efiLes,,,regeveS d0,ef?irAtitagous bien sensibles. Du reste ,pn ge.91:711à,i,,,,1?,,ejtaa.",0-,19,4e0,?,utes I

celles, grandes,,ou.,peiMese, qui se

terrain a été

.

lja 17'6 ik,`1- civ26-Veïrr,Y b'ê tee g'àP(1)-rudiciuol?ieelii LfiteddMilTrieÉp'ro(f,Ii

dans ses caractères minéralogiques 'ou paléontologiques et qui, par cela même, est le plus facile à repérer sur une vaste étendue. On peut ainsi restaurer la mer dans laquelle le terrain qu'on considère s'est déposé et, quelquefois même, indiquer Ses anciens rivages qui, autrefois, étaient nécessairement horizontaux. Le problème se complique, il est vrai, d'assez grandes difficultés; car unterraim?me recouvre pas umiformément3le fond de la mer, lors me,ippAtilii,l' i.iu. 9çye,,,,priqm,ip,p ; il s'accumule surtout,dauLles,dépresApreitaodis.mu'lbeS40>eince ou manque

,

aff.eiétiîoriayreolfigie69rd'fier C masund-gond àb

9filffl.0? u muta. abord representer i.orosrAp ie du er gin d'Onisider&ré -

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' STRATieraPHIE SYSTÉMATIQUE.

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clérios4.

et.,,propies4cpurs que le '

u.,-, -Pl

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La méthode qui 'vient tr'enerianli'quée a été appliquée par kly D e-

less e à l'étude de quelques terrains constituant le sol de la France, particulièrement du silurien, du trias, du lias, de Péacène et du pliocène.