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Journal des Mines (1794-95, volume 1)

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( t;t; )

t oient placées à l'abri des inondations et même

à ce que leur pied ne soit pas humide. X.

'De 1' enlèvernent,et du transport des tourbes. Lorsqu'on. veut enlever les tourbes, on com-

rnence.pir découvrir les piles, ee qui doit se

faire avec précaution. On ne doit entartiér des piles .que celles qu'on enlevera. ét Si' °On s'appercevoit que quelques parties de piles eussent reçu de l'humidité, il conviernhoit de remettre ées tourbes en lanternes ou renies ; autrement elles se pulvériseroient en les transpbffaht.

Le meilleur moyen de transport pour les

tourbes , quand on ne peutpas les pater à la

manne, de la pile à un bateau, c'est d'avoir des charrettes garnies en planches, et dont le fond s'ouvre en deux parties pour décharger les jouthes, transporte aussi dans des saèa.; mais è'-e-at une dépense assez considérabl4

obseer., que le moins de remrdément posmieux pote éviter un 1-Vo'e grand gOe.tide tourbes réduites en potiS'sièr:-

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Vie\

X I. De l'u,sacie,de la tourbe. La tourbe peïrf',.,en générai , reWa..c'er le bois avec avantake ',-cotrime combustible. On peut rendrem6iii'sqinCeininode l'odeur qui se répand pendant S'à is'onIuStibn , einatiquant, pour les itsages domestiqUe'S des é'lierninées

qui aspirent fortement, comme onle fait dans les pays où bu se Chauffe avec de la

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mais c'est sur-tout dans les manufactures

sous .les chaudières , que l'économie produite par la tourbe sera très-sensible. Il en sera de même pour ceux qui cuisent la brique, le plâtre , ou qui font la chaux. Les cendres résultantes de sa combustion sont très-recherchées pour l'agriculture; elles se vendent fort cher ( ). Enfin en charhouisant les tourbes , on leur

enlève toute leur odeur désagréable, et on les rend utiles à tous les arts. (nVoyez le Journal des Mines , N. 2 , de la charbonisation des tourbes. ) (1) Voyez l'ouvrage du citoyen Ribaucourt

,

ayant pour titre

Analyse de la tourbe et de sa cendre , considide comme engrais. Chez Buiison , à Paris rue Haute-17 cuillz.