Journal des Mines (1795-96, volume 4)
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sulfate de chaux avec l'acide suIfurique; les 0,75 de partie de carbonate de chaux représentent à-peu-
près 0,50 de chaux pure. oo parties de cette pierre à fusil contiennent donc, d'après ces expériences : Silice ( Expériences III et IV, ).. 98. Chaux ( Exp. VII.) o, 50. Alumine (Exp. VI. 2. 0, 25. Oxide de fer ( Exp. V.) o, 25, Volatilisé par le feu i, o o., 100, 00 .
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DESCRIPTION DE LA CYMOPHAN.E, Avec quelques réflexions sur les couleurs des,_Gemmes ; Par -le C.e" H A Ü Y.
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pierre que nous nommons cymophané , pour la DifTérens donnés. raison que nous dirons bientôt, et dont on trouvera ànoms la cynioplia. l'analyse à la suite de cet article, d'après les résultats ne. de Klaproth, était employée depuis long-temps par les joailliers de Paris ils l'appelaient chrysolite, à cause de sa couleur d'un vert jaunâtre ; mais ils ajoutaient l'épithète d'orientale , pour la distinguer de la chrysolite ordinaire, qu'elle surpasse de beaucoup en dureté et en éclat.. Emmerling, qui place la cymophane dans le genre siliceux, immédiatement après le diamant , lui donne, ainsi que 1Verner, le nom de chrysobéril; et le seul synonime qu'il cite est celui de chrysolite opaline , qui a rapport aux reflets chatoyans de cette pierre. Qu'il me soit permis, avant d'entrer dans de plus Réflexions les cougrands détails , relativement à la cymophane , de sur leurs dcsgemfaire quelques réflexions sur la confusion qu'a ré- mes. pandue dans la partie de la lithologie qui concerne les gemmes, l'usage qui s'était introduit de dénommer ces pierres d'après leurs couleurs. Pour nous aider à mieux débrouiller cette confusion , nous pouvons rapporter les couleurs des gemmes à celles du spectre solaire , en conséquence de l'observation faite par le C." Daubenton , que la couleur de chaque gemme est l'une des couleurs principales données immédiatement par le spectre, ou un mélange de deux couleurs voisines. Au reste, nous
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