Journal des Mines (1795-96, volume 4)
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dans tous les endroits où l'eau peutétre dans le cas de délayer le mortier. Lorsque les eaux sont fortes, dit Trébra , on fait une entaille ou rigole dans le rocher; y adapte un_ canai de bois , qu'on engage dans on le
mur, et par lequel les eaux se dégorgent sans l'endommager. Cette précaution est. très-bonne quand l'eau ne sort que par un seul endroit mais lorsqu'elle suinte entre tous les bancs de depuis fice d'un puits jusque dans sonroche, fond, comme cela arrive le plus ordinairement, il n'est pas possible de faire usage du moyen de cet auteur. Les meilleures pierres pour le sont celles qui se lèvent par lits , muraillement principalement quand on n'emploie point de mortier. plates n'exigent que peu de travail de Des pierres maçons , et le muraillement, quoiqu'a la part des , en est très-Solide, et beaucoup moins coûteux sec qu'à chaux et sable; mais entre chaque assise du premier, on doit y mettre de la mousse, ce qui les empêche de glisser ; elle retient les terres et guhrs que les eaux charient, et dont la filtration souvent des incrustations et des forme le plus qui bouchent tous les interstices, ce qui,stalactites par la suite, forme un corps d'une grande solidité. On conçoit que des galets ou pierres rondes, même 'avec du mortier de -chaux , seraient peuemployées propres à la maçonnerie dont il s'agit. Muraiflement des galeries. _Après avoir traité , en général, du muraillement des travaux intérieurs des mines, on va exposer, le plus brié veinent possible , la manière cuter. On commencera par les galeries; de l'exéil en est de leur bâtisse erv pierres comme des étais pente, c'est-à-dire que si une galerie en charest solide des deux côtés, et que sa partie supérieure soit
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d'y faire un arceau ébOuIeuse on se contente entailles faites au rocher des paportant dans des rois latérales qui servent à recevoir les premières assises de l'arceart qu'on élève en-dessus à la hauarceau, figure i o.) teur convenable. ( Voyez cetéboulement que d'un Si la galerie ne menace côté et en même temps dans sa partie supérieure on élève on fait un mur de. ce -côté , sur lequel entaille pratiim arceau qui va reposer dans un: ( Voyez la quée sur le côté solide de la galerie. figure i 1.) Si les deux parois de la galerie sont défecl'on teueuses , ainsi que sa partie supérieure , construit de chaque côté un mur, sur lesquels on élève l'arceau , que l'on garnit de pierrailles jusque qu'au rocher ; mais, dans tous les cas, il fautsoient les pieds droits -qui 'supportent les posés sur le roc ferme.
voûtes ,
Te Si le terrain n'a aucune solidité dans tout à une pourtour d'une galerie, on peut recourir méthode très-ingénieuse en usage en Hongrie, et rapportée par Delius. On fait en maçonnerie un
la ovale , dont le plus grand diamètre est suivant largeur. hauteur de la galerie, et le petit suivant sa de cette manière , toutes les parties forment voûte à toutes celles et opposent une grande résistance figure 12.) du pourtour. ( Voyel cette galerie, passage, faut observer que, d'ans les galeries dealors on fait serait trop étroite
partie inférieure du bois, élevé de t5 à 18 pouces un plancher en mais en ce plus de largeur
fond, ce qui donne hauteur, il faut que 5 pieds -1de cas , pour avoir moins de le grand diamètre de l'ovale soitleau fait voir, on si, comme la figure
- 7 pieds ,
maçonnerie dans sa construit de petits açceaux en