Révisions de la page | Historique de transcription | Journal des Mines (1796-97, volume 5)

190 ) Dans ces sortes de cas, il paraît naturel d'adopter

CelIe, des deux formes indiquées par la division mécanique , qui est elle-même la plus simple ; ce qui fournit une raison de préférence en faveur du cube ., relativement.:à, l'application de la théorie aux cristaux de leucite.

Ici- revient l'observation que j'ai déjà

fa...te

ailleurs ( 1), et que je puis assurer être générale aujourd'hui que_ la théorie se trouve appliquée à toutes les substances: minérales connues. Elle consiste en ce que les molécules intégrantes différentes du parallélipipècle sont toujours assortie>: dans l'intérieur des cristaux , de manière qu'en les prenant par petits groupes de deux , quatre., six ou davantage , elles composent des parailéli.-, pipèdes ; ensorte que les rangées soustraites par l'effet des décroissernens , ne sont autre chose que des assemblages de ,ces parallélipipèdes. Ainsi, à la rigueur , la théorie ne laisserait pas de marcher vers son but principal , en s'arrêtant toujours aux parallélipipècles que donne d'abord. la division mécanique des cristaux ; et l'espèce: d'anatomie que, subissent ensuite ces parallélipipèdes , lorsqu'on essaie, de remonter. ,.jusqu'à la., forme de la molécule intégrante , est un pas ulté-, rieur , sans lequel l'observation , plutôt que la théorie, laisserait quelque chose à désirer. On voit., en même temps, qu'au moyen de cette conformité

entre les résultats donnés par les diverses forme> de molécules intégrantes , la théorie a l'avantage, de pouvoir généraliser son objet , en enchaînant à un fait unique cette multitude, de faits r,Ti) Journal de phys.','août 1793 ,p. 158. Leçons de l'école. normale, r. LI, .r3:2-, &C.