Révisions de la page | Historique de transcription | Journal des Mines (1796-97, volume 5)

2S'o )

par le citoyen 36. ANDRÉOLITE ( abréviation faite III, p. 463, Larnétherie , Théor. de la terre, t.

qu'il avait d'abord du nom d'Andréas-Bergolite , t. I.", p.

donné à cette substance, Sciagr. , et Théor. de la terre, t. I.", p. 393). Hyacinthe blanche, cruciforme, de Lisle,t.II, p, 299, Will-, 9.

Sa poussière, jetée sur un charbon ardent, donne Voye7, le une phosphorescence d'un jaune verdâtre. Journ. de phys., août 1793 , p. I 6i, où le citoyen et de la Cillot a vérifié , à l'aide de l'observationdirection théorie, l'indication que m'avait offerte la des joints naturels , pour faire de cette substance une espèce à part.

37. PÉRIDOT. Théor. de la terre, t. I,", p. 39 id., Journ. de phys., an 2 de la Rép, , p. 397. Péridot, Lamétherie

Romé de Lisle ne parait pas avoir connu cette de péridot substance. Celle qu'il décrit sous le nom des Indes de Ceylan (1) , et qu'il nomme aussi péridot

-

orientales (2), n'était autre chose dans la réalité, ainsi que dans les idées de ce célèbre naturaliste qui détruit qu'une tourmaline d'un vert jaunâtre; ce lui fait (3) le reproche que le citoyen Lamétherie d'avoir pris une tourmaline verte pour le péridot dont il s'agit ici. La description que ce dernier savant a donnée i) Cristal., t. II, p. 3 63 et

suiv.

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sieurs égards, d'être rectifiée. La pesanteur spécifique dupéridot est de il a une double réfraction très-marquée. J'ai3,4.285; observé cette propriété, non-seulement avec des morceaux taillés , mais aussi à l'aide d'Un cristal intact , regardant une épingle située horizontalement, à travers l'une des faces du. sommet et le pan du prisme opposé à celui qui était adjacent à cette même face. Les joints naturels les plus apparens du péridot sont dans un sens parallèle à l'axe. La figure 8 représente la forme primitive , qui est un parallélipipède rectangle , dans lequel les trois arêtes C, B, G, sont entre elles dans le rapport des quantités

5, 1/5 et 1/8.

On voit, figure 9, une variété quia trente-quatre faces ; c'est la plus composée que j'aie observée. Je la nomme péridot duodénaire , parce qu'elle a douze faces sur le contour du prisme , douze dans le sens indiqué par les lettres T, k, h, P, &c. , et que les faces qui n'ont point été comprises dans l'énumération précédente, sont aussi au nombre de douze. Le signe de cette variété est 17,1 G'2 T

CABP, d'où l'on voit combien sont simples les lois de décroissement -qui déterminent les formes secondaires du péridot. Voici les mesures des principaux angles saillans Incidence de n sur M, x5 5d de sur M, de d sur M, 141' 40'; de e sur

138'd

n, 44." io'; de k sur T, 138' 31'; de h sur T, j9a

Ibid., p. 3 4_3 , note 63.

'Théorie de la terre, t. J,r,p. 392. Journ, de phys. F' .397,

)

de cette même substance est susceptible, à plu-

38.

1v1

I

C

A.

Voyéz ci-après la description détaillée de cette C 0