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Journal des Mines (1796-97, volume 6)

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( 670 ) Zinc sulfuré intermédiaire 'E' P

fig.

24);

( 671

)

par des triangles isocèles réunis deux à deux sur

l'octaèdre émarginé , formant comme le passage entre la forme primitive et l'octaèdre complet Lisle, t. III,p. 68, van 4. Incidence de g sur P, 44d 44' 8". Zinc sulfuré anomal (i) P (AB 'C',

une base commune cd, in, &c.

2e); surface composée de douze trapézoïdes et de douze triangles alongés , dont six subiss,ent, dans leur position , une espèce d'anomalie , de

dire, à celles qui ne sont point contiguës aux som-

(fig.

Lisle, t, III, p. 6, var. 8. Angle de l'un quel-. conque ynpc des trapézoïdes p i o9d 28 16"; c ou n = 90d ( 2.); y .= 7od 31' 44. Incidence de

c y d sur cd, I29' 3

r.

Si les cristaux de cette variété avaient toutes leurs

faces disposées symétriquement , sa forme serait semblable à celle du polyèdre représenté fig. _25,

et qui n'est autre chose que le dodécaèdre de la ,fig.

21, dans lequel douze arêtes sont interceptées

( ) Le premier A renfermé dans le signe, répond à celui qui occupe l'angle supérieur sur la fig. z , et le second , à

celui qui .occupe l'angle inférieur , conformément au principe énoncé dans la note précédente. ( 2 ) Chaque arête, telle que y n, qui fait tin angle droit avec le résidu pn d'une des arêtes primitives , est le sinus de l'angle

aigu du rhombe correspondant. Le décroissement par des

rangées de molécules triples, dépend de ce que le cosinus du même angle est le tiers du rayon. Si l'on isole, par la pensée, le rhomboïde dont le sommet correspond à y, on pourra considérer les trois triangles nyi, cyd, lys , comme le résultat d'un décroissement par trois rangées en hauteur , sur les angles inférieurs des trois rhombes réunis autour du sommet opposé à y , lequel coïncide 2VeC le centre du dodécaèdre, ainsi que le concevront ceux qui possèdent la théorie,

par

Considérons le dodécaèdre comme un assem-

blage de quatre rhomboïdes qui auraient leirs sommets aux points p, h, a ,k, fig. 25 il sera ,

facile de concevoir que les triangles répondent aux

six arêtes latérales de ces rhomboïdes

,

c'est-à--

mets ; et si au lieu des angles p,b, a, k, on prend

les angles y, m , g, f, on voit que chacun de ces angles est le sommet commun de trois triangles. Mais cet assortiment n'est pas celui de la nature,

et il faut y substituer celui qu'on voit figure 26. Pour se faire une idée nette de ce dernier, supposons que les choses étaru d'abord dans l'état que représente la figure 25 ; 'le rhomboYde qui à son sommet en a, en restant fixe par ce même sommet ainsi que par le sommet Opposé , ait tourné autour de son axe, d'une quantité égale à la sixième partie de la circonférence du cercle, en emportant avec lui les six triangles emh , efh , ufx , u g x , o gr , om r , qui interceptent ses bords latéraux. Dans ce cas , le point m , par exemple, sera venu se placer en nr-1 (fig. 267, à l'extrémité de l'arête z; et tous les autres points ayant tourné à proportion, l'assortiment des six triangles se trouvera disposé comme sur la même figure, dont il est aisé de s'aisir les différences avec la précédente, d'après la correspondanceides lettres. Dans le P:131yèdre de lafigure 25, à chaque tra-

pézoïde supérieur, tel que y npc , répond dans la partie inférieure un autre trapézoïde a e fu , qui lui est parallèle ; mais dans le polyèdre de la Journal des Mines, Prairial an r,