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( 690 ) secondaire, produite'par les pyramides surajoutées au noyau. L'inclinaison des faces de ces pyramides sur les pans , telle que je l'ai donnée , est de 3' ( i ). Or cette valeur est exactement celle qui résulte d'un décroissement par une simple rangée sur les arêtes supérieures, d'après le même

rapport -/2 à

I ,

entre le côté de la base et la

hauteur de la molécule ; et effectivement , dans les derniers cours qui ont été donnés à l'école

des mine, on a indiqué' pour la variété dont iI s'agit, 1e signe M B, qui exprime ce décroissement ( 21, La distance de plusieurs années entre les époques auxquelles ces résultats ont été calculés , m'a empêché d'apercevoir le lien qui les unit, et d'en déduire la conséquence qui se présentait naturellement. Et peut-être même y a-t-il quelque chose de plus' favorable dans cette coïncidence parfaite de deux résultats pris' indépendamment_. l'un de l'autre., et qui ne laissent aucun lieu au soupçon d'avoir--négligé , pour les faire cadrer ensemble , les petites différences que peut donner l'observation, et qu'on se permet quelquefois n'Op facilement de mettre sur son compte. Les variétés de chrysolithe et de phosphate calcaire que nous connaissons , ne se ressemblent ) Journal des mines, n.° XXVIII , p. 2 Go. (s) Dans le triangle mensurateur relatif à ce décroissement le horizontal est au vertical comme V3 à Vs. Si l'on double re d'té. iioriZontal , on aura le rapport 1/12. à V2. ; et si l'on

iubstitue" au même côté la demiLdiagonale du rhombe dans le

prisme quadrangulaire qui représente la molécule soustractive on aura Ces deux derniers rapports sont donnés par !es .décroissemens 13 et À, qui ont lieu dans la chaux phosphatée , et conduisent aux mesures d'angles que j'ai indiquées dans l'extrait du traité, (

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)

que par la forme de leur prisme hexaèdre; qui leur est commune avec un grand nombre d'autres minéraux. Les sommets diffèrent très-sensiblement

entre eux , par le nombre et par l'inclinaison de leurs facettes , en sorte qu'on ne serait pas tenté de rapprocher les deux s.uhstanees-,_ len. se bornant à la configuration extérieure des cristaux.

Je n'ai point trouvéque la poudre de chryso-

lithe , jetée sur des charbons ardens , devînt phos-

phorescente comme celle de la chaux phosphatée; mais c'estici un de ces caractèresjqui peuvent être masqués par l'action d'une cause purement accidentelle. Quant 1a dureté , elle est:.à.peuprès la-même dans l'une, et..fatuire -sitbstande. toutes deux, passées aveefrottement surfe verre, y laissent ine trace blanchè,-,deleur propre pous-sière. Il y a aussi beaticoùp- dé rapport entre les pesanteurs spécifiques çle la chrysolithe:est 3,09 l'expérieda du citoyen Brisson , citée per Rorrié de Lisle

et j'avais éeit. tué à 3,2.

celle de la chaux phosphatéé.:cristallisée..ilie tissu de eette dernière est plus se.nsiblement-bniielleux que celui de la chrysolithe. , cerui West encore

qu'une de ces nuances variables 'dans les.cristaux

d'une même espèce. 4.° 'Tourinaline.

J'A I eu occasion , pendant le cours de toutes Primitive rrproces recherches , d'observer et de .détermineri)luduite dans un

sreuï. nouvelles -;at'.'i-e7ii-s-d-e-f-Orme;',

férertS.ki.néraux..;Paine,Ces varie:tés

cristal de tour. ,

if enf 'existe relicfecr'mper

une appartenant à la tourmaline, que le citoyen. seccind44reGilet Laumont m'a- communiquée , et 'qui-,-.est

()

t,II,p. 271,

note 163,