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Journal des Mines (1796-97, volume 6)

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t 774 -) trie gangue de spath calcaire, existe, dit-on

775 )

,

la cime de la montagne de Beauvoisin, qui sépare la V allouise de l'Argentière , au lieu nommé (.oinballong.

d

USINES À FEL

Vie a été exploitée, de I74.5 à 1750, par une

Compagnie qui envoyait, à ce qu'if paraît , le minerai provenant de cette exploitation , à une fonderie établie alors à la Paute , près du bourg d' Oisans.

En 1789, le C." Cécile, demeurant à MeIezat, s'occupa de reprendre ces travaux. Il avait obtenu , Ie

Au hameau de Fortville

cartedeca, is

,

dépendant de la

commune de Briançon,sur la Guisane , est une usine dite le Martinet de Chanteinerle. Le Schreiber

a.ett-Connaissance qu'on y fondait des marmites de

fer

paraît:qu'ort Tait de l'acier. Le conseil ,cles,inines ignore l'e,at actuel de cet établissement.

.20 décembre 1789, une concessiodpourvingt ans, formant un rectangle, qui va du Mont- Genèvre, en suivant les limites de la France et du Piémont, aboutir au col de la Roue. En 1793 , le concessionnaire avait déjà extrait environ 600 quintaux mais l'exploitation a cessé depuis cette époque.

2.

Je tire des mémoires ',de Guettard l'indication d'Un fourneau .et d'un martinet situés au confluent /dé la Severaise, dans le Drac, près de la commune des Herbeys. Ce fourneau ne marchait plus depuis 1757; avant cette époque II recevait son minerai de-Mens, au département de l'Isère: quant au martinet , Guettard le trouva en activité ; il recevait sonfel' en gueuse des fourneaux d'Allevard ou de Saint-Gervais, éloignés dé 8 myriamètres environ.

CITIVR E.

Entre le hameau de Dormillouse et le village

de Freyssinière , près de la vallée où coule le ruisseau de Biaisse , sont deux gîtes de minerai de cuivre reconnus en 1772, l'un au lieu qu'on nomme le Chau des Sagnes , l'autre au banc de la Rab ise

et tous deux à deux kilomètres environ de Dormillouse.

D'après des échantillons remis à Alacquer pour

en faire l'essai en 1772 , ce chimiste jugea que ceux du Chau des Sagnes étaient très-pauvres et que ceux du banc de la Rab ise ne donneraient que 7 à 8 pour cent,: 'au plus, en cuivre affiné. La,

gangue était un carbonate de chaux de couleur rte,

ON connaît une mine de cuivre dans le vallon ,"s 150 et des 'Acles , qui vient se-réunir à:Celui qu'arrose canton du la Clarée. Elle est située à environ une demi-lieue

bleuâtre.

,

'lai d" Pi"' de la frontière du Piémont, dans un chantier nommé Commune de Neuy,,he,

la Rousse. à un myriamètre.de Briançon et à deux kilomètres environ de.14.Êrontière du PiémonL .

.

La montagne nommée la Sure, commune dit

.Yillars - d'Arêne7, offre des indices de mines de .!qtivre , notamment deux lons que le C." Le,

ebyre, qui les vit en 1785, jugea mériter attention

Carte de Ces11.°