Journal des Mines (1797-98, volume 7)
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GIR OMAGNIe.
MINES
de quelques mètres ; il entra dans le filon , maïs il l'abandonna bientôt. Au-dessous de cette traverse, il y en /a encore une autre dont on ignore fa longueur ; on ne sait pas davantage si à ce niveau le filon a été travaillé. Ces diverses galeries au tour sont écrasées. il est difficile de porter un jugement sur l'importance de cette mine: Mine de cuivre et plomb des Trois Rois. S. X LI. ELLE est située près l'étang de' la Buzinière , à 2000 'mètres environ et au nord du Puits. Albiqin dit (1) que cette mine a produit autrefois suivant le rapport des anciens mineurs ; qu'elle tient plomb et cuivre, et qu'on l'a abandonnée comme' les autres -par découragement , le filon ne produisant pas assez promptement. D' Hérouville dit qu'elle n'a pas été exploitée de mémoire d'homme. Mine de cuivre de la Seligue eu Schlick.
S. X LII. c, LA mine de la Seligue, ban du Puits, non exploitée en 174,1 , dit d'Hérouville , est
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de cuivre pur ; elle n'a qu'une galerie de 20 toises ( 39 mètres ) , au bout de laquelle il y a un
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puits commencé qui n'a pas été continué : le filon n'en était pas en règle (z) Suivant un mémoire de Ndblat , ancien subdélégué de Belfort , cette mine ae été abandonnée parce que les cuivres anciennement se vendaient à vil prix (3). (
) Dans un mémoire manuscrit fait en 1778. Anciens minéralogistes , page 733 . Mémoire intitulé Mines d'Alsace,
Mine d'argent et plomb de Saint-Jacques.
S. XLIII. I e paraît qu'elle estclans la même tagne que les mines de Saint-Nicolas et des monTrois'Rois. On n'a pas de renseignetnens sur ses travaux. Noblat dit que pour l'exploiter,, il faut établir de& machines à bras ou à chevaux, pour ne pas nuire à la mine de Pheningthurn, en fui enlevant les eauc. qui sont nécessaires à son service ( ). Mine de plomb de la Goutte-Colin,
S. XLIV. ELLE est derrière le Puits, près le Chant oiseau, Albain dit qu'elle a été exploitée à
plusieurs époques, et particulièrement de son temps. Il y a six entrées à différentes hauteurs : la plus élevée est près du sommet de la montagne. Cette mine n'a été en général exploitée que dans la hauteur où l'on a trouvé le filon seulement picacé de petits boutons de mine de plomb : elle a été abandonnée à cause de sa pauvreté et de son éloignement. Mine Sainte-Claire. S. XLV. DANS la Reconnaissance des mines de l'année 174.2, on. parle d'une mine Sainte-Claire au milieu de la montagne de la Buzinière', au-dessus de l'étang de ce nom, découverte au commencement de 174.2. On ne peut, y est-il dit, en reconnaître encore la valeur : on n'indique pas sa nature; c'est probablement celle dont Albain dit quelque chose dans un mémoire de l'année 5778. Il parle d'une mine de cuivre au haut de la Buzinière, qui a été travaillée peu de temps : elle fournissait trèspeu de cuivre. Le filon est petit ; il a été abandonné (
o64,
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) Mémoire intitulé Mines d'Alsace, n.. zo64.
Joui-1z. des Mines,
Niv. an VI.,