Journal des Mines (1798-99, volume 9)
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SUR LES VOLCANS.
même qu'on lettr objecte cette grande difficulté
gé&ogique : Comment des masses qui eussent été si profondément souterraines , pourraient-elles se trouver aujourd'hui visibles et autant élevées au- dessus de terre Or c'est un argument que vous voyez annullé d'avance par ce qui est dit ci-dessus; et c'est ainsi , je crois , qu'en lisant ma nouvelle géologie, vous y trouverez l'enchaînement réci-
proque et la solution la plus naturelle de tous les autres grands problèmes.
EX TR AIT D'UN MÉMOIRE de l'inspecteur des mines J. H. Hassenfratz , sur la meilleure proportion à donner aux chaudières qui servent à évaporer de Peau, combustible ne s'est LA nécessité d'écànomiser le sentir que dans le moment, jamais plus fortementfait successive des forêts, actuel. La destruction lieu , font craindre que peu de replantation qui a combustible végétal 'ne nous fasse, la disette du abandonner une partie des arts manufacturiers et que nous ne tombions dans une dépendance grande absolue des puissances qui possèdent une faible population. étendue de terrain avec une qui nous Il y a deux moyens d'éviter le sortplanter des de semer ou menace : le premier , le second arbres dans tous les terrains incultes ; les opéd'économiser le combustible dans toutes subsrations où l'on emploie le calorique comme partie tance principale. C'est pour remplir une a fait du second moyen, que le C.'" Ilassen_ftat résultats dans les expériences dont il publie les son mémoire. sur laquelle Pour ne pas confondre l'opération recherches , il ses le C.en Hassenfrat a dirigé opération par laquelle définit l'évaporation une du calorique â on combine l'action gazéifiable C'est cette double l'action dissolvante de l'air. opération qu'il appelle évaporer. C.'" Hasseifrizt Le premier problème que le de-déterminer la s'est proposé de résoudre, est de liquide température propre à évaporer le plus
- il
a fait voir que avec le moins de combustible