Journal des Mines (1801-02, volume 11)
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MINES DE SAXE.
plus que l'on daient qu'ils l'étaient d'autant abandons'enfonçait davantage, et l'on auraitconvaincu conseil, peu né ces recherches, si leopinion populaire , n'en de la vérité de cette continuation
- bientôt on aravait -ordonné la
même riva sur des points eXtrêniement riches, morceau.. natif
on en a retiré -un en argent 125 liv. Quoique entr'autres pli pesait jusqu'à actuellement la mine ne soit plus aussi riche, belles ,de elle ne laisse pas d'être une des plus si les tra Nécessité l'Europe: Il n'y -a pas de doute que,
lieu d'être con- vaux du district de Freyberg , au par travaux des duitd. par un conseil éclairé , l'étaient 'd'un Moment, ruines par 'dirigé pari"intérêt horurnqs propriétaire , un(les.n'aurait mis cet ordre , cetteconséclairés odt jamais on des mines, de ne pas l'es .bondonner tance ;cettesuitedansTexploitation les avantages coll.:. à des proet l'on n'en aurait pas retiré priétaires donné. Il est vraisent-;,. uniquement sklérables qu'elles :ont on avoit continué) l'on dirigés P".hiable que( si toutefois leurs intéexploiter la partie dés filons i-êts, or. wu. se, serait borné à ns trop qui est anpr ls dé la -Surface du terrain et. que .,ressés de les points qui ont l'on :n'aillait jamais atteint produits. Pour Ce qui est donné les plus riches dés mines de ce canton, ainsi de la Salubrité nombrenxque .de tontes celles_du district, les facilité la cirey,trouvent , ont percemens par' culation de l'air an. point que,lapresque même actiavec tout, les lumières ,brûlentplus, le travail à la vité 'qu'en plein air ; de pointrole ayant généralement été remplacé par de faire conduire les
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lequel lemile tirage à la poudre, l'air dans chargé de poussière
neur respire se trouve moins moins pierreuse et métalliqüe, le métier est bienvie desmalsain, aussi la santé et la durée de la
MINES DE SAX I?. 71 mineurs Saxons ne sont pas sensiblement altérées. Le canton de Halsbrucke au commencement du siècle près deentretenait neuf cens ouvriers, et donnait cinq mille quatre cent marcs d'argent, et une grande quantité de plomb: on y voyait vingt-quatre grandes roues hydrauliques qui mettaient en mouvement autant d'équipages de pompe, destinées à l'épuisement des eaux de la mine. Actuellement, il n'occupe plus que six cens travailleurs , et on. n'en retire pas trois mille marcs d'argent ; il n'y a plus quatre' roues hydrauliques. La cause de cetteque différente vient de ce que dix des mines avaient leurs exploitations sur leanciennes puissant filon de Halsbrukner-wath. Une de ces mines, tenait à l'Electeur, ayant eu besoin dequi apparquelques avances par une économie mal entendue, on les lui refusa ; les eaux de la rivière (le Mulda), sur le bord de laquelle elles étaient, y pénétrèrent et les noya. Aujourd'hui , qu'on a vu combien on avoit perdu, on travaille avec activité à évaCuer les eaux et à rétablir ces mines
mais il en coûtera infiniment plus qu'il n'en eût d'abord coûté. Le canton étranger, qui, en 1704, occupait une centaine d'ouvriers, et ne livrait pas mille marcs (l'argent, entretient actuellement plus de trois mille mineurs, et donne de dix-huit à vingt mille marcs. Le grand nombre de le terrain autour de Freyberg travaux, dont ont fait connaître les filons est traversé, y filons sont concédés; ainsi lese.zploitables. Ces mineurs se sont portés plus loin ( dans le canton étranger ) , .
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