Journal des Mines (1801-02, volume 11)
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DU DEPARTEMENT DE LA RoER:
etc. imméqui l'approchent davantage, et qui lui sont calcaréoinférieures et parallèles,son t diatement quelquefois elles ont l'apparence argileuses :. partie arp-,ild'un grès calcaire ; d'autres fois laressemblent à leuse domine tellement, qu'elles beaucoup moins uncos ; mais alors leurs lits sont épais, et il ne leur manque que la solidité pour être tée-,ulaires. je viens d'in- Les deux espèces de pierres que environnent cliquer, ne sont pas les seules qui plusieurs enles calamines : on voit aussi dans de Stolldroits, et principalement à l'est et près de poudding formées berg, desrandes masses réunis par blanc de fragmens roulés de quartz la trouve encore sur On un ciment quartzeux.qui gauche bordent la rive pente des montagnes Stollberg , Lie la Dente, au nord-n.ord-est de Mais il m'a de grands bancs de grès quartzeux. de pierres ne sont que paru que ces deux sortes superficielles au sol qu'elles recouvrent, et que 1915
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MINES DE rEn. , DE PLOMB
le terrain inférieur n'a point de rapport avec elles., Les endroits où l'on exploite le plus abondamde Maus-
ment la calamine sont, la montagne et à l'ouest de GrMai à 12 hectomètres .senich, et celle de Busbach, à trois kilomètres , sur la gauenviron, et à l'ouest, de Stoliberg l'origine de l'ex.clie de la Dente. On reporte siècles ; les à 4 ou 5 , ,ploitation. des calamines possession de les. paysans ont toujours été en s'apperçoit-on aisément du peu exploiter; aussi d'art qu'ils y ont apporté.bouleversé, et l'on ne Le sol est entièrement .peut pas trouver une.s-urface de io à 12 mètres sans rencontrer des affaissemens et des décolla-
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bres : on regarde généralement que les Cal'amines sont épuisées jusqu'à la profondeur de 4o mètres. Ce niveau est assez ordinairement celui du fond des vallées ; non que les mon. tagnes n'ayent pas souvent 2 et :3 fois plus de hauteur, mais parce que les calamines se trouvent rarement en occuper le sommet, et qu'elles
sont le plus ordinairement déposées sur leurs pentes et sur leurs croupes. Quoique j'aye déjà expliqué la mauvaise exploitation des calamines
par un grand nombre d'individus, qui s'occupant les trois quarts de l'année à labourer les champs , passent dans les mines la saison la plus rigoureuse et la moins propre à Pagriculture ou ne sera pas fâché, je pense, d'avoir une idée de la méthode d'exploitation uniforme que le teins et l'imitation si naturelle à l'homme, ont pour ainsi dire consacrée dans ce pays. Chaque mine a ordinairement deux bures ou puits
au. jour, écartés au plus de 6 à 8 mètres l'un de l'autre et souvent au même niveau. Leur profondeur varie suivant l'endroit où on entame la couche de 3o à 4o mètres. La forme de ces bures, qui est circulaire, précisément un mètre de diamètre.
La manière dont ils sont cuvelés n'est pas
moins remarquable. Elle consiste à former .16 à 12 cercles avec de longues branches de bois liant , de 25 à 3o millimètres , dans le gros
bout, qui font une ou deux révolutions sur
'elles-mêmes ; à placer ces cercles horizontalement dans la fosse, immédiatement le S uns audessous des autres. Ces 10 à 12 cercles occupent une hauteur de 40 à 48. centimètres ; on laisse ensuite un espace
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