Journal des Mines (1802-03, volume 13)
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TÉBI.P.L.:;RATTIR le. 1, S -1, avait point de tragalerie où il n'y + oa vailleurs A 115 t. de profondeur et à 20 t
du puits , l'air était à Les eaux qui sortaient de la roche au même endroit
DANS LES MINES DE FREIBERG.:
12°.
+ ii
=-;
Au plus profond, 128 t., dans un ouil y avait quatre ou vrage agradins oùtempérature de l'air
cinq ouvriers, la + 12°. était de stagnantes Celle de quelques eaux au même
el-D:h-oit
-I- 11
A Kiihschacht. La mine de ce nom est la plus prefonde de celles de Freiberg : elle a 209 t. de profondeur verticale. Ainsi le fond en est exactement au niveau de la mer. Il y a environ dix-huit mois, que les machines hydrauliques destinées à l'épuisement des eaux ayant été arrêtées , ces l'inondèrent eaux s'élevèrent dans la mine etqui est à 35 t. jusqu'à la galerie d'écoulement, au-dessous de la superficie du terrain. Depuis les machines ayant été remises en jeu, l'on a épuisé une- partie des eaux ; cependant celles qui restent encore ont une profondeur de 6o t. : ainsi leur surface est à 149 t. au-dessous du jour. Comme ces eaux ne communiquent avec l'air extérieur que par un puits, qui est presqu'entièrement fermé , qu'elles sont dans le fond de la mine depuis un an et demi, que l'espace qu'elles occupent peut être regardé comme une fente de 6o t. de profondeur, de 3oo t. 'de long , et de + t. de large, il était à présumer
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que leur température devait être entièrement. celle de la roche adjacente, ou celle de la terre, dans cette contrée, et à cette profondeur. Pour aller mesurer le degré de température à cette profondeur., je suis descendu dans la mine leai pluviôse. Le thermomètre dehors et en plein air marquait 2°. A l'entrée du puits par où l'air sort de la mine Bientôt il est monté à 90 et puis à10°, toujours dans le même puits, jusqu'à
8°.
une profondeur de 110 t. où il s'est fixé à A la même prolbndeur, dans le puits par lequel l'air entre, et qui est à 5o t. du premier, on avait également. . Mais à l'extrémité d'une galerie, qui est à cette profondeur, à 40 t. seulement du puits , l'air était à ( il y avait trois ou quatre travailleurs ) Je suis retourné au puits par lequel l'air entre, et j'ai continué ma descente: dans cet endroit, à 110 t. de profondeur, le puits est fermé par une cloison, clans laquelle on a pratiqué une .
.
trappe parlaquelle on passe. Au-dessous
10°.
10°.
130.
de la cloison, la température était de. + 11". Vingt t. plus bas , un'petit courant d'eau, conduit dans une rigole, donnait également. . Enfin 9 t. encore plus bas, je suis arrivé à la surface d.e l'eau ; j'ai tenu 113.