Révisions de la page | Historique de transcription | Journal des Mines (1802-03, volume 13)

MACHINS A VAPEUR. tambours coniques. Ces moyens sont àapplicala mahles 'aux machines à molettes, décrire chine de rotation que nous alons e la pi-ernière Machine IIL rotà tion-'établie à Littry. à if 4-peur dé on voit D'après tout ce qui Vien.t d'être dans l'emclic' combien il se présentait de difficultés I.vapeur pour monter et

17g

-

ploi de la machine

les tonnes, et obte-

descendre .sUccessivement innig,lès diverses manoeuvres que nous avons

diquées plus haut. général la même .Comme la Machine est -en ,à double effet et de que la.machinerà vapeur elle ne rotation ;..déjà si conflue, et,comme modifications présente que quelques légères, 'quels sont nous nous conténteions d'exposer jugéanécessaires qui ont été lés changemens par l'explication de la et -nous terininerons la vue seule suffit pour donria ache r, dont l'ensemble et du jeu ner ;une idée générale de de la machine. dans une .Toute cette machine est contenue c,age de charpente qui n'a besoin d'aucun soubâ, ensorte qu'elle .est indépendante'du Elle a dans son timent dans lequel on.,la place. régularité et jeu et dans ses itionsemens une et l'on est plaisent à l'ceil ; une harmonie qui tant de souplesse et tant cl'aisurpris de voir et dans des bras de fer. -beece dans des rouages coMme Cette machine n'apoint de balancier, ordimachines à -vapeur on en voit çlans, les naires; mais à l'extrémité 'SuPérieure:de.la piston ._ est adapté un fléau ,hütimntal

Aigç 'du deux bras :à, Ce fl,é_ffl porte ii`i;Ses,_ deux bouts,

DE R OTATION

etc.

179 charniire , qui sont attachés aux deux maniTelles de deux roues dentées, qui engrènent l'une dans l'autre ; par ce mécanisme simple la tige du piston est forcée de se mouvoir

ver-, ticalement. Cette disposition réduit le volume de la lachine ordinaire, la rend plus transportable plus fàcile à démonter et à remonter, lorsqu'on abandonne un puits d'extraction pour la placer

sur un autre. L'une des deux roues d'engrenage , &int 'flous venons de parler, porte sur le prolongement de son axe un volant, et à son extrémité un pignon ; ce pignon s'engrène dans une roue dentée fixée au tambour sur lequel s'enroule cable qui sert à monter les tonnes. L'extrémité de l'axe de l'autre une. manivelle qui met eh jeu uneroue , porte tinée à faire agir une pompe d'eau tiraille desfrOide pour le service de la machine. Cette pompe est placée dans un puits hors de l'enceinte du ment. ( Voy. les,,. 1 , 2 et 3, planche bâti'Pour changer alternativement le l7.) sens du mouvement, on a placé sur l'axe du volant un frein, dont le levier est calculé de manière qu'un homme, avec le plus faible arrêter toute la machine. 11 est à effort, peut remarquer que cet effort est d'autant moins grand, nivelle du volant approche plus de que la mala situation verticale ; ce qui a lieu quand le piston est parvenu, soit au haut, soit au bas du cylindre. -

AinSi, lorsque la machine est arrêtée, elle se trouve naturellement disposée à prendre un mouvement Contraire, et, par conséquent , à faire redescendre la tonne qui vient d'être montée. M