Journal des Mines (1802-03, volume 14)
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etc. obtenu car, soit proposé d'expliquer le résultat pression de à 212° , sous une avec de l'eau l'esétait condensé dans 6o pouces. Ici l'air expace i, par une force 6o; mais étantégale de l'eau, dont la force posé à la vapeur 3o pouces à 212° de température, il s'est dilaté jusqu'à ce que sa pression devint égale à 3o pouces ; ce qui ne peut avoir lieu qu'en doublant son volume. Alors la vapeur et l'air, pressant l'une et l'autre avec une force de 3o pouces, et peuvent supporter la colonne de 6o pouces applilui faire équilibre. Le morne calcul est la vacable à tous les cas possibles, parce que force dépenpeur s'élève jusqu'à une certaine et l'air se met en dante de sa température , raréfiant d'une équilibre, en se comprimant ou manière convenable. La notion d'une affinité chimique, entre les 36
Expiiez-
la formule. iOn
L'affinité chimique ne se concilie pas avec les pliénemèrles de la dilatation des
vapeurs et des gaz,
SUR L'MtPANSIBILITI DÈS GAZ
en augaz et les. différentes vapeurs, ne peut, concilier avec ces phénomècune manière , se gaz nes. On pourrait admettre que les différens fallait pour affinité pour l'eau, s'il ont la même expliquer les faits avoir recours aux affinités ; tous mais supposer que l'eau se combine avec composé les degrés, et forme un les gaz, à tous même que si dont l'élasticité soit exactement la étaient séparés , c'est aller un les deux corps peu loin pour servir une hypothèse. D'ailleurs en supposant que cela eût lieu, la II faudrait admettre que tous les gaz ont quelune vapeur même force d'affinité pour conque ; supposition qui est inadmissible n'ayant aucune analogie avec les lois de l'affinité chimique.
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NOTICE SUR les Machines à vapeur des mines de Tarn.owitz en Silésie. Par J. F. DAunuIssox.
ON se doutait à peine, il y a vingt ans, des
trésors souterrains que renferme le sol de la Haute-Silésie. Quelques forges aussi peu intéressantes par les procédés que l'on y suivait, que par les produits que l'on en retirait voilà quels étaient alors les établisseinens métallurgiques de ce pays (1). A cette époque, la direc:
tion des mines de la Silésie fut donnée au comte de Reden : et c'est au zèle et à l'activité de ce chef, que la Monarchie prussienne est redevable du produit annuel de plus de cinq millions de francs, qu'elle retire annuellement des ate-
liers métallurgiques de cette province , ainsi
.
(I ) Les établissernens actuels de la Haute-Silésie, relatifs aux fonderies et forges de fer, sont les plus considérables et les plus beaux de l'Allemagne : ils sont en partie faits à l'instar de ce qui se pratique en- Anglererre , quelques-uns même sont dirigés par des Anglais. Qu'il nie suffise ici de dire, que dans cette petite province , il y a 48 hauts fourneaux, 154 affineries et qu'on retire annuellement i8o,000 quintaux de fer forgé. Le Gouvernement et les riches seigneurs de ce pays, sont occupés avec tant d'ardeur à établir de nouvelles usines, que dans quelques années ce produit sera certainement doublé. Les étabiissemens métallurgique s de la Haute-ilésie , n'existant que depuis peu: années , ne sont point connus en France : je donnerai , par extraite ce qu'ils m'ont présenté de plus intéressant.
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