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Journal des Mines (1802-03, volume 14)

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mivtot

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24. L'équation 2 1.

(A) L-5n = P

m c 11.--

mise sous la forme 2 / X P, fait voir que S est d'au-

tant plus grand, que c est plus petit , et que 1 et plus grand. Or c représente la distance entre du mentonnet, Longueur les manchons et t la longueur la pression contre la came soit du mendonc , polir, que tonnet , et 1°. que la disla plus petite possible, il lut, distance entre les les prisons soit trèsgrande

orditance entremanchons.

elle est de 2,59 mètres (huit pieds) nairement Pl. IX. 2 0. que la longueur du mentonnet soit la plus Fig. 1.. courte possible : elle doit être telle que la partie saillante D s,fg. i 'pi. IX, ne surpasse que de quelques millimètres, 13 environ (6 lignes) , la différence entre le rayon o E gué décrit l'extrémité de la came pendant une révolution de l'arbre et le levier o s. Si l'on faisait D s plus arrêtée dans petit que o Eo s, la came serait 44 a du pilon. par la face ,son mouvement, de dire, il 26. D'après ce que nous venons Distancé D o du pilon du pilon à résulte que la plus courte distance doit, aussi surpasser que rnxe de l'a, à l'axe de l'arbre-, ne bre. de 13 millimètres le rayon o E. Fig. et Jour avoir l'expression analytique de D sdu Pl. IX. d la plus courte distance de D o, appelons de la parpilon à l'axe de l'arbre, to la longueur continuons de

et

tie saillante du mentonnetpilon, r le levier o s nommer Ii la levée s E du de la résistance. .milliD'une part nous aurons d =

13 millimètres ; de l'aumètres VT 13 nrillimètres tre part,N=Ds=oEos+ _77:7 os+ 13 millimètres.

SUR LES MACHINES A PILONS.

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Substituant dans ces deux équations les =aleurs de s E et de o s , on trouvera= d + 13 millimètres; et to = 1," r + 13 millimètres. 26. On peut encore diminuer la pression qui Moyen de a lieu sur la came, en remplaçant les épaules diminuer le ou petits liteaux de bois, dont on a coutume frAternent contre les de recouvrir les faces des manchons que presse manchons. le pilon, par des rouleaux de fer, dont les tourillons rouleraient dans des anneaux de cuivre. Dans cette supposition , si l'on représente par n le quotient du diamètre de chaque rouleau par celui de ses tourillons, alors le rapport de la pression au frottement sera représenté par in ii, et l'équation,(4 P+ IX PI mc 2 / deviendra ( B ) S P+ .2.1 X P expression plus petite que la première. Pour rendre plus sensible la diminution qu'éprouvera la force S, par ce changement, fai- tionApplicaà un cas sons une application des formules (A) et ( B ) particulier.. à un cas particulier. Soient P = 90 kilogrammes , C 2,6 mètres, 1=0,3 mètres, n = 4 ; et supposons, comme l'a donné l'expérience, que m=3. Ces valeurs substituées dans les équa-

tions ( A ) et (,B), donneront (A) S = 90 kil. 0,3 X 9.0 = 7,5 kilogrammes, 3 X 2,6 0,3

X2

o,3 et ( B ) 5=90 ldl. + 23 >< X 4 x 2,6

9.°

91,764 kilogrammes à-peu-près. D'où l'on voit , qu'au moyen des rouleaux, la pression S se trouve diminuée de 5,736 kilogrammes. Bien que, dans lafig. 13, pl. XIII, le menlonnet se trouve situé entre les deux manchons

s2