Journal des Mines (1802-03, volume 14)
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SUR LA FONDERTE DE FER g etc.
Celles de ces marchandises qui ne sont pas': de commande, ou qui ne sont pas vendues sur les lieux, sont conduites à l'Oder,, et remises à la disposition de la Chambre dit commerce de erlin, qui est chargée du débit. G-leiwitz est à environ 8 lieues de l'Oder,, et dans ce mo-
ment l'on travaille avec.. activité à un canal de communication que fait faire entre
'ce fleuve et la fonderie : ce qui facilitera beaucoup les transports des fers dont cette partie de la Silésie va bientôt remplir l'Allemagne : ces fers suffisent actuellement aux besoins des États Prussiens.
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ESSAI DE STATIQUE CHIMIQUE. Par le Cit. B ERTIIOLLET. (Extrait par l'Auteur.)
JJ'AUTEUR avait été appelé .au nombre de ceux qui furent chargés de l'enseignement des Écoles
Normales; il fut obligé ,par cette circonstance,
d'exposer les principes généraux qu'il avait adoptés en chimie, sans en avoir fait jusques
làun objet de ses observations. Il s'aperçut, dans la rapidité de rédaction qui lui était prescrite , que ces principes avalent une incohérence qui appelait de nouvelles méditations par exemple, en présentant les idées reçues sur l'affinité, il remarqua que ses effets variaient par la .quantité des substances ou par leur degré de saturation ; ce qui ne pouvait se concilier avec une affinité élective et constante qui exclut un élément d'une combinaison en rai-
son de l'intensité qu'elle tient de la nature
seule d'un corps. Il se- proposa dès-lors de soumettre son ouvrage précipité à un nouveau travail : il profita pour l'entreprendre de quelques loisirs en. Égypte: à son retour, il présenta à l'Institut ses observations sur les lois de l'affinité qui servent de base à toute explication chimique.
(Méat. de Piast. tome 111.)
L'on se bornera à indiquer la marche qu'il a suivie dans le traité qu'il substitue aujourd'hui à l'ébauche des Écoles Normales.