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Journal des Mines (1803-04, volume 15)

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sm7,- TAITY1,4NTRe efeu eue

epp,traire ayant ordinairemeut lieu, je dois _conclure que fa marche que je viens .de supposer n'est pgs ,c4e de la nature. 4-1.17 dessons dea croûte boir_Lineuse , la

tourie change .de qualité. Il est probable

qu'elle ne doit pas sa formation ,aux mêmes espèces 4e plantes que le 4c:1;min ,

,,

cpe.qe,s plaines n'y prenneut pas le Même de. . . Ne pourrait-on pas eePo.ser que la végétation propre clu houzin -ftes9 loirsqu'll est parvenni. une ertnine épaiset qu'il s'te.blit -à une certaine dfieSPeges,olidité' PSPÇÇde serre chaude

.Êré 4croissenient

prie npvelle végétation hien pins active que

tc.911e du bow.411 P;E dont les Oen tes éminem-

ment propres à se convertir en tourbe,nieurent, 4Qtrilb-ent pe,sQ14 sgPs interniption , remplafées par de _nouvelles pousse.s!?

,II ._rsiilterait 4u moins, de cette dernière

supposition, (pie les con ch pls ipférievres , éalit

4'1.3.4p fortiori nx14r

,elte ides ÇOU-

.g4,s supérieures AçfiNent gatu.reilement etre plus Mçoinposées , plus divisées. Pour ce qui est de la végétation des plantes , que je suppose Continue e bien plus lia,p,.ye dans cette eepèce de serre, il me semble ,que cette hypothèse est admissible , et qu'elle is gyoir un grand ;degré de probabilité guN ,

,

çu nel.Tg.:4e9 :114 iePinpgrerg cephen-

celpi einel'Ansit aeoir constamment

1j,ewsm-m îe gle(2 elgs 01e5. 1,9P glgees dgs pôles, est, sans 4.P.er, 19 14k9r..-Q-t9ile -1@ ,p1:us fçeond de e.91.rt,r,Pffit , Art.r9,-ÀP.40,1.e.

rT DE -1,1drAKER LA 'I'OUREÉ,btC.

multiplient ces essaims innombrables de poissons voyageurs, qui, tous les ans, aux mêmes époques , pour satisfhire sans doute au iz lois de la nature, sortent de ce vaste et sombre laboratoire, parcourent le grand Océan ,servent

à la nourriture des cétacées et autres grands piscivores, qui les engloutissent par .milliards; zainsi qu'à celle 'de l'homme, gni est, Far ttinct et per besoin, Ie -plus grand destructeur .des êtres vivans. On attribue .cette multiplication prodigieuse 'êtres vivans et animés au calme qui règne sous ,ces glaces, et à la ternpérature constante que 1' on y éprealve Cette température

est évaluée à ;en virer' ,degrés au dessus du terme de ta gince, ;thermomètre de Réaumur, ou 12 degrés ,du theimoinètre

décimal Ce qui ,se passe sm. fend de la mer sous les glaces polaires , end tres-,raisemblable la

végétation hâtive-et ctmtinue 'des plantes tourbeuses, que j'ai supposée avoir lieu 'dans les marais recouverts tlt bouzin --- Je arrêté: je laisse à des pereinnes eus struites ,

soin de devéfopper,, de compléter la théorie

(.1e -cette végétation , sur là-cludlê je n'ai dedmé

que des coniectures et quelques àpénus. Je me feliciterai neumnoh,s ;d'avoir osé lès hasarder , les publier 'ils pcirveirt 'déterminer .9ueique savant nattira,iste à s'occuper de 'cet nitporiant objet, et à -le traiter ainsi qu'il 111,6-

lite de l'être.

test. 1305 qfieçe$

.P94.4- 91S: ny-jçr.

359

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