Révisions de la page | Historique de transcription | Journal des Mines (1803-04, volume 15)

St1P MIiMOIB flÉLATIr, etc. iniiire scientifique : mais frappé de l'avantage qu'a la méthode des latitudes, etc. de substituer inféalcui très-simple aux opéra don s graphiqu es ,

crit devoir faire connaître une chose utile, et -je l'a:i plibliée. En voyant qu'à Freyberg les solin:ions relatives aux percemens s'y font habituellement par des opérations graphiques, je pensais pas qu'une méthode plus courte et pIiW exacte y efit-été, proposée, et à plus forte raison exécutée. En donnant de l'extension à à mon ce que j'avais vu ," ie me suis emparé, , d'Urie partiedejla propriété de M.Scheidinsu liauer je m'empresse de lui restituer une gloire qui lui appartient entièrement (1).

(i) J'observera.; encore ici que lorsque je dis , page i 6, que dans itiat court Mémoire je vais traiter de la Géométrie souterraine:, j'aurais d-Cii ajouter, quant è ce qui est relatif aux percéinMis et au m plais : ice sont les seuls objets dont je me proposais de parler : IgQ1 intention n'a jamais été de dire. iquç je enfermais dans un ente Mémoire., teus les ohJets (liure' M. Lempe avait ,t,qt,é, d'ans soin- VOrtinUirieux ouvrage.

3'7'5 'il

NOTES Sun le même sujet; par A. B. L.rs observations qui précèdent nous dispend'invensent d'eu faire aucune sur I. tion qui appartient à M. Seheid.hauer, , et nous nous bornerons à exposer quelques réflexions sur la méthode même du bergmeister de Freyberg. . Cette méthode consiste, comme on l'a vu, à déterminer les positions de tous le points extrêmes des stations, eri,aleulaIlt leurs distances positives ou négatives à trois plans perpendi-

culaires (un méridien, un plan vertical per-

pendiculaire au méridien, et un plan horizontal); elle procure un moyen très- commode pour tracer les diverses projections des travaux d'une

mine, et elle réunit tous les avantages de la méthode analogue qui est employée pour la

confection des cartes topographiques. Nous ferons remarquer qu'elle permet de ne tracer que

telle partie du dessin que l'on veut, et que ,

lorsqu'on désire retrouver, , après une longue exploitation, quelques points imper-tans , un ancien pilier de minerais. . . . , etc. elle rend très-facile la recherche de ces points, -suffit alors de consulter les tableaux ou les registres de la mipe sur lesquels leurs longitudes, latitudes et hauteurs sont indiquées. 2. La méthode de Scheidhauer ne sert pas seulement à tracer les plans et dessins de mines ;

Aa4