Journal des Mines (1803-04, volume 16)
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.S A LINES
sin pour la recherche et tiou des sources. Les cou-
rencontré qu'il est le plus avantageux de diriger lesAravaiix-_Elle&sont en lits du terrain , et perpendiculaires. qui guide dans leur parallèles entre elles recherche.
.Lesirgssises ou-les bancs perméables font
l'office_`,de, réservoirs naturels, lorsque les issues cbe"q"i" ières font souvent l'of-
queilaeature ou l'art ont établies ne. suffisent
1,;iec2tersriét-a7
Pà$. f>01...lel.'é.e.onleinent
dies eaux affluentes. Les d;eferen.tes parties d'un: pareit-réserveir comlors donc- que l'on y Les dive, muniqueRt , entre elles ; ses parties pntïer,.Peau .fortement pressée- par :la CO turels.
4.10e ici.,:croérsne r- loetie,ssvpérieué,
jaillit avec force en quel-
ET Lrun EXPLOITATION.' cause, au reste, n'est pas la seule. On sent que si les eaux suivaient une fente un peu considérable , telles qu'en présentent les montagnes calcaires, elles s'écouleraient avec 'bien plus de vitesse, et que quelques jours de sécheresse suffiraient pour épuiser une pareille fente , qui, par conséquent, ne peut pas donner naissance à une source permanente. 5. I I. Théorie du Roc' salé et des Sources salées.
On n'a pas encore trouvé de sel gemme sans
Inuniquent qu'endroit -qu'onperce; ai reste; dans cette entre elles especeHee Téservoin, les particules d'eau étant ,nais sos limites peur ainsi dire séparées comme dans une épon.&autant eetnreutiicatioxientré-.1e5.différentes parres,_ ge
argile ; tantôt ces deux substances sont inti-
roche est moins per méable.
l'argile est ordinairement au- dessous , rarement au-dessus ; ce qui, s'observe sur-tout à 'VVieliska , Visackua , etc. et en général dans les endroits bas, où le dépôt a pu se faire avec tranquillité. Quelques géologues ont poussé ce rapprochement plus loin , et ont pensé que toute couche argileuse renferme ou renfermait primitivem.ent du sel. On trouve en effet celui-ci
rées , que la ties,--ea.lieu..lqu'atnlout,id'un. certain teins , et
yusqua aine oistance.qui,.est en' raison inverse de la résistance que les frottemens opposent; au mouvement del'eau Les sour- T:Les:Spurces se distinguent en variables et-en'
Ve(),,110tir" pe.rmanentes. Les:preunères tarissent dans leS Peq.gnengarides chaleurs .e.11.eS doivent généralement tes,
keitorigine auk. eaux de pluie qui ne pénètrent Pas à une .g-randeprofondeur-:dans
1-4
nal
sourées,
lenn ent le ter.re Le&, autresr..:sont ,celles leaig des-couches., On a peine à concevoir d'ao :,comment, après de grandes, -sécheresses,,. ces couches ne sont pas entièrement Vidées . ayant que de nouvelle eau vienne les alimenter.-
Cette propriété importante est -deie principalement à la lenteur 1.t,vec laquelle l'eau se meut, en,.raisonde diminution *continuelle que les
frottemens apportent dans sa vitesse. Cette
mement mélangées, comme on l'observe àrlallein , Berchtolsgaden , etc. et autres endroits élevés où le précipité s'est fait confusément;
On ne trouve point de sel gemme
sans argile.
tantôt on trouve le sel gemme pur, et alors
presque partout avec l'argile, au-delà de l'Ural dans l'Asie orientale. Le sable accompagne et recouvre aussi très-
souvent l'argile salifère , par exemple , Transilvanie , à Wieliska et dans l'Ural.
Le sable l'accompa. gne aussi très-sout.
L'argile salifère , ordinairement de cortex- veLi couturc schisteuse, se trouve toujours en couches e
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