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422 PBÉTARATION DES BRIQUES DE LAITIER

d'un aspect sec : il prii. de paille hachée ) et fusibles par eux- mêmes et 'vient de minerais laitier on peut mettre sans addition. Après ce partie rayonne, en partie celui qui est blanc, en d'un peu de laitier vert ; les compacte , mêlé quelquefournissent donnent minerais qui le à chaud. Tous les laifois un-peu de fer cassant de verts qui proviennent tiers très-vitreux et de nature chaude ; et 'minerais fusibles et des minerais oligistes qui exigent ' une adcastine, ainsi que les dition considérable de dernière espèce de minélaitiers bleus de cette à briral , .sont rarement propres former des un peu -ques : ceux qui sont jaunes (contenant quelquefois du plomb ) , ceux .de manganèse et semblables à de la colophane et les noirs sont ,absolument mauvais. Les minerais dont la ganou akantigue est dé Pactinote ( ou épidote quelquefois peu de chaux, et -con ) , avec un un peu de grenats rougeâres , fournissent ordinairement un bon laitier : il en est de même bonne, de certains minerais, de nature froide etcastine: petite quantité de qu'on mêle avec une poudre ; car imais celle-ci doit être réduite en elle ne fond lorsqu'elle est en gros morceaux du tout; que difficilement et quelquefois point entières, ii en reste dans le laitier des parties et font que les qui attirent l'humidité de l'air, dilatent. Ces bons briques se fendillent et se le s'obtenir que lorsque laitiers ne peuvent doivent la fonte grise

ils fourneau donne de être compactes et d'un aspect sec : plus ils sont sur, vitreux, translucides., plus leur couleur tireà se le noir, et plus ils sont fusibles et sujets fendiller en se refroidissant. Le laitier qui sort

DANS LES FONDERIES DE, SII1A/E.

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après la fonte, lors de la percée, est en générai, lorsque les autres circonstances sont favorables , fort propre à faire des briques.. Ét,t où. La bonté du laitier, pour en faire des briques,. doit être ledépend non-seulement de la nature du minerai , fourneau,. mais encore du mode de travail dans le fourneau. Le laitier a besoin d'être travaillé par le. vent et le feu, pour être dans l'état convenable.. Ainsi il faut que le fourneau qui le produit ne

soit pas surchargé de Minerai, il convient même (pie le charbon soit un peu en excès, et que le laitier reste assez long-tems sous le vent. Celui

qui provient des .premières charges après la coulée , s'étant trouvé long-teins trop au-dessous du vent, n'est pas assez pur et fluide :iL en est de même de celui qui se ferme lorsqu'il" est tombé dans l'ouvrage une trop grande quantité de minerai ( ou de celui que l'on obtient, par là coulée du laitier lorsqu'il y en a) , ou du laitier de hallage : le laitier qui coule de. lui-même en débordant par- dessus la dame, est le seul qui puisse donner des briques de la consistance nécessaire. Ces briques peuvent être plus ou Moins gran-

des ; on leur donne communément 12 pouces (0,3 m.) de long, , 6 ( 0,15 ) de large , et de 4 à 6 (o,1 à 1,5 ) d'épaisseur. Celles pour les creusets des hauts fourneaux ont de 15 à r8 pouces ( 0,37 à o,.45 in.) de 1ong,/9 ( 0,22 m. ) de large

et 6. ( 0,15-) d'épaisseur : pour les parois des fourneaux, elles doivent avoir 21 (.0,52 ni.) de long, 7 (o,17 m. ) d'épaisseur, mo ( 0,25 ) de,

large à une extrémité, et 7 (0,17) à l'autre..

Quand on fait des briques pour les parois des. fourneaux il convient d'en faire de plus étroi, Ff3

Grand ei.ir

des briquec.