Journal des Mines (1804-05, volume 18)
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CONSTRUCTION ET «USAGE
On a retranché, parce que le thermomètre inférieur était le plus fort. On a retranché 5,5oo ou 51°. 3Pi- , parce que la
différence des thermomètres était 5d. 33 2°. En faisant la correction de la dilatation sur l'observation inférieure, il faudrait retran, resterait en décicher 5/12 pour les 5d.
males: Baro. inf. 27P. 31. Baro. sup. 23 6 8.
272638, dont log. 4355805 235555. . . log 3720933 634,867 Résultat . . .
.
.Différence entre les résultats. Premier résultat. Second résultat . Différence
. .
634,969 634,867 102 1000
de toise , env(ron 7 pouces.
La différence serait encore plus petite pour des colonnes de mercure moindres que 27°: et même à 22"" il n'y aurait point de différence, tout-à-fait ; car alors pour 4d om la correction serait 3/12; et ces 3/12 donneraient 4 toises, de même pour une colonne de IV', 5d.om. donneraient 3/12 de correction; et ces 3/12 vaudraient
- c'est pourquoi je préférerais cette dernière
méthode de faire la correction pour la dilatation du mercure, parce qu'elle serait plus facile.
D'UN BAROME.TRE PORTATIF
ete.
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CHAPITRE TROISIÈME. Corrections à faire pour la dilatation de l'air. s. 21. La correction pour la dilatation de.l'airest la plus difficile à déterminer. Voici ce qu'en dit M. le Monnier, dans ses Mémoires de 1781. cc Le module des logarithmes qui représente la
» dilatation de l'air, varie suivant le chaud et
le froid : et ce n'est qu'après quantité d'expériences suivies, et à l'aide des meilleurs in.s10. que D) trumens , qu'on a enfin découvert, » dans l'état de chaleur marqué 57d.,3 au thermomètre de Fareinheit , ou 11d.,25 au thermomètre de Réaumur, en supposant uniforme, , entre deux su.la densité moyenne de ), tions, la sous-tangente de ce qui se passe dans )) l'état naturel, aurait alors les mêmes dimensions que celles de nos tables ordinaires de logarithmes ; 2°. que hors de ce point 57,3 , ce module varie à raison de -A-,,41 de la hauteur
approchée., pour chaque degré de chaleur D) moyenne entre les deux stations, soit au» dessus, soit au - dessous de ce terme fixe
3°. que cette correction est additive quand la » chaleur moyenne est au-dessus du terme, et D) qu'elle est soustractive dans le cas opposé ),. Cette méthode est très-bonne, mais un peu longue et difficile. Le calcul m'a appris qu'en conservant le point fixe , sans correction, à 11' 15'° Réau. on pouvait beaucoup plus facilement et sans erreur sensible prendre72,--'s pour coefficient en place des ,4i ci-dessus ; en effet, cette seconde méthode ne diffère de la drécéden.te dans ses résultats, que de quelques. Aa2