Journal des Mines (1804-05, volume 18)
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D'IJN BAR03,11TRE ror..TATIP , etc.
CONSTRUCTION ET USAGE
S. 27. Etat des variations du baromètre, Besançon et à la Grand-Combe-des-Bois , pendant le mois de juillet 1785-, exprimée en douzième de ligne. 13e,an. 1
Matin. Soir.
.
Soir.
.
a Matin.
10 o
Combe.
+11
3
Soir.
+
3 8 6
4 Mati.. Soir.
5 Matin.
7
Soir. .
8
6 Matin.
4 .
8 Marin. + 7 Matin.
5 o
++-
.
9 Matin. Soir.
lo Matin. Soir.
.
11 Matin. Soir.
-1
+3
9
10
Soir.
.
13 Matin.
4 Matin.
14 13 5 12
1
2 16
-+ 6
1
16 Matin. Soir.
.
Matin. Soir. . Soir.
.
Soir.
.
22 Matin.
7
5
-2
7.77- 10
11
'5
4 16
4 22
10
+i6
2 +317 26
23 Matin. +3z 24 Matin. Soir.
25 Matin. Soir.
.
+8
12 -3
21
+ 15
+16
3 16
26 Matin. - 12
.27 Matin. - 5 .
7
29 Matin.
1
Soir.
.
28 Matin.
9 II
7
9
4 16
7
10
7^
10 +12 7
30 Matin.
3
6 6
Soir. . Matin.
3
1
Soir.
3
6
5 10
8
15
Soir.
4
.
1.5
21
3 8 13
4
Soir. . 19 Matin. Soir. Matin.. Soir.
1
35 Matin. + 11 Soir.
18 Matin.
+3 +6
.+4
4
.
.
Soir.
3 13
9
9
Soir.
Soir.
Combe.
Soir.
5
12 Matin. .
17 Matin
1
.
Soir.
2 2
2 14 9 7
Soir. .
Soir.
Beear.
1
+2
3 Matin. -7 26
Soir.
Grand-Craml-
31
.
o
367
En calculant les -variations de ce second tableau comme celles du premier, on a pour les variations en plus, la moyenne de la GrandCombe à celle de Besançon , comme 33 à 36; pour les variations en moins, comme 21 à 23; et pour toutes les variations ensemble , comme 3o à 33.
Quant aux différences entre la plus haute et la plus basse observation en chaque endroit, pendant le mois de juillet 1785, on a celle de la Grand-Combe à celle de Besançon, comme 90 à 92; et pour les différences entre la plus haute et la plus basse de 702 observations qui ont été faites en chaque endroit, on a comme 118 à 122.
Tous ces rapports sont ici plus grands que celui des deux colonnes de mercure des baro-
mètres à la Grand-Combe et à Besançon, et par conséquent la totalité des variations est plus grande aussi.
Au milieu de toutes ces difficultés et de ces in-
Certitudes qui se trouvent encore dans les corsur les observations baromérections à
triques , pour faire'les hauteurs vraies dans le nivellement des montagnes , je conclus avec MM. de Saussure et Trembley , qu'il n'est pas encore teins de construire des échelles et des tables générales, mais qu'il laza continuer d'interroger la nature par des observations exactes et multipliées. On peut cependant déjà avoir quelque confiance à des résultats fondés sur des observations simultanées, bien faites, dans des tems favorables, avec de bous instrumens et bien calculées. Nous en avons vu des exemples pour