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GÎTES DE FER DE LA NORWEGE.

CHEMINS DE FER DE L'AUTRICHE.

nouveau problème était complexe; la masse d'éléments qui devraient entrer dans la formule la rendrait peu propre aux applications. Nous nous contenterons ici de signaler des expériences faites à ce sujet sur la ligne. de Vienne à Trieste par M. Desgrange : l'emploi du dynamomètre l'a conduit à trouver des valeurs approximatives des résistances développées pendant la traction en courbe. Mais la réduction de ces résultats en une formule n'est pas encore un problème

MÉMOIRE SUR LES GÎTES DE FER DE LA. CÔTE SUD-OUEST DE LA NORWÉGE, ARENDAL - NAES - KEAGERÜ.

Par M. TH. KJERULF et T. DAHLL, professeurs à l'Université de Christiania (*).

!Traduit

résolu. Les perfectionnements successifs des machines locomo-

tives ont permis de dépasser de beaucoup sur les chemins de fer récemment construits, les inclinaisons qu'à l'origine on regardait comme des limites extrêmes, et l'on a pu prolonger ainsi les voies ferrées dans des régions d'où les. accidents du sol avaient paru d'abord les écarter pour toujours. Ce progrès ne doit pas cependant faire oublier l'influence très-défavorable qu'exercent les inclinaisons prononcées sur l'exploitation d'une ligne. L'instrument appelé chemin de fer a pour objet principal d'opérer une réduction sensible dans les résistances qui sont à vaincre pour effectuer les transports horizontaux. Un pareil instrument n'est qu'une route ordinaire perfectionnée. De là, résulte la nécessité logique et sentie dès les premiers moments, d'adoucir pour les appliquer aux nouvelles voies, les incli-

naisons admises sur les anciennes routes. Cette condition primitive n'est pas modifiée par là création des meilleurs types de machines. Le moteur, si parfait qu'il soit, ne peut posséder la propriété de rendre les inclinaisons indifférentes à la puissance et à l'économie de l'exploitation, et la conclusion générale qui -nous semble ressortir de nos études, c'est qu'on ne saurait apporter trop de soin à la recherche des bons tracés.

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du

norwégien par M. FUCHS, ingénieur des mines. )

CHAPITRE DESCRIPTION DÉTAILLÉE DES DIVERS GISEMENTS.

§ s. Gisement de Naesicilen.

Le gisement de Naeskilen se trouve aux environs d'Arendal, près du détroit de Tromô (Tromô-Sund) et forme une longue bande qui s'étend au bord de la mer, et parallèlement à la direction de la côte (S.-0. à N.-E.) , depuis la mine de Bali, à l'est, jusqu'à celle de Crocodile, à l'ouest (Pl. V, fig. s et 2). Les mines les plus importantes de ce vaste gisement, qui a une étendue le plus de 2 kilomètres sont : Crocodile, Stabel, Lange-Skjaerp, Korsberg, Gammle-Môrefjaer, AdelerSkjerp, Ny-Aslak, Gammle-Aslak, Hav; Stol et Fredsô, puis après un intervalle stérile assez long, Langenaas et Buce. Dans toutes ces exploitations, le minerai occupe deux zones distinctes, mais si rapprochées l'une de l'autre, que la partie stérile qui les sépare s'est quelquefois éboulée

après l'abattement des parties métallifères; c'est ce qui est arrivé, par exemple, à Buco, à Hav et entre Ny-Aslak et Ga*)

Om jernertsernes forekomst ved Arenclal Naes og Kragerce af Th. Kjeralf og T. Dahll. Christiania, 186L. TOME IX, t 866.

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