Annales des Mines (1867, série 6, volume 11)
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de la n° 4 du groupe forme du dépôt est la même que celle suite d'amas qui se suivent à peu de Cabeza de Vaca, une probable que les des autres. Il est fort de distance les uns la continuaamas de la Santa Elisa et de la Terrible sont La seule diffétion de la couche n° 4 de la Ca.beza de V aca. deux groupes conrence qui existe entre les dépôts de ces qui sont la nature des houilles, siste uniquement dans de la Santa Elisa et la Terplus grasses dans le groupe rible.
verticale et Nous donnons ci-joint deux coupes, l'une 6 et 7). l'autre horizontale de la Santa Elisa (PL XI, fig. la Fusion, » Elisa appartenant à « La couche de la Santa profondeur, où elle a a été reconnue jusqu'à 85 mètres de été recoupée par le puits principal avec 17 mètres de puisaujourd'hui, l'avaient sance. Les anciens travaux, éboulés La direction est toujours N.-N.-O.; rencontrée à 55 mètres. partie supérieure et son inclinaison atteint 65 degrés à la tend à diminuer en profonde-Ur. trois Du puits principal, qui a ioo mètres, on a mené tracé un galeries, et au niveau de chacune d'elles, on a correspondant au étage d'exploitation ; la coupe horizontale mètres montre la forme qu'affecte premier étage situé à. 70 tend la masse de charbon ; elle a 16 mètres de puissance, contraire à diminuer vers le S.-E., mais elle devient au plus grande vers le N.-0. La couche la Terrible a une puissance moyenne de 15 à 16 mètres, et en quelques endroits elle atteint 4o mètres; été le charbon se rencontre à 3o mètres de profondeur, et a reconnu suivant la verticale sur 5o mètres. En direction N.-N.-O., on a ouvert trois autres puits : l'un d'eux, situé à 800 mètres des premiers travaux, a rencontré la couche les deux autres l'ont. avec une puissance de 15 à 16 mètres; recoupée égaleMent, mais la puissance est réduite à 8 mètres et le charbon change de nature; il d est plus aussi bitumineux; il semble, en se dirigeant vers l'extrémité N. N.--O.
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du bassin, que la houille s'altère peu à peu; à l'extrémité N.-0. du bassin houiller, on n'a encore rencontré que des charbons maigres et anthraciteux. La mine S. Federica, située au nord de la Santa Elisa et de la Terrible, n'est plus exploitée depuis quelque temps ; deux compagnies s'en disputent la propriété : les éboulements survenus dans les travaux abandonnés en interdi-
sent l'entrée. D'après les plans que nous avons consultés le premier étage est à 22 mètres de la superficie, le second à 29 mètres et le troisième à 57 mètres. La couche' de la S. Federica tend vers la partie ouest à se réunir avec l'immense dépôt de la rrrible. D'après ce qui précède, le prolongement au N.-O. des couches du cinquième groupe est reconnu d'une manière positive, par des travaux sérieux sur une longueur de plus de 5 kilomètres ; au delà le terrain houiller se prolonge encore sur 4 ou 5 kilomètres, avec une régularité telle qu'il est à peu près certain que les mêmes couches doivent s'y rencontrer. Entre la Santa Elisa et le quatrième groupe, bien. {m'aucun travail important n'ait été fait, la grande analogie qui existe entre la couche Santa Elisa et la couche n° 4 du groupe de Cabeza de raca, la stratification régulière du terrain qui s'observe aux affleurements, rendent aussi très-probable l'existence de ces couches entre ces deux. points extrêmes. Évaluation du cubage des bouilles du bassin d'Espiel et Belinez.
Il est impossible de faire exactement cette évaluation. Aucun sondage n'a été fait pour connaître la richesse du bassin en profondeur; les travaux exécutés n'atteignent 100 mètres qu'en deux ou trois points
- dans les trois premiers groupes les travaux sont à peu près nuls, Nous
comprenons dans les calculs de cubage qui suivent o la quantité de charbons parfaitement reconnue; 20 celle qui