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Annales des Mines (1867, série 6, volume 12)

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EXPÉRIENCES SUR LES RESSORTS DES CHRONOMÈTRES.

Série F. - Ressort du commerce.

qui suit l'arrêt inférieur et r avant-dernier tour avant l'arrêt supérieur. Formule applicable à la. détente des ressorts des chrono D'après les résultats précédents, corroborés par 'mètres. ceux de nos propres expériences, on voit que, dans la limite de la détente du ressort moteur d'un chronomètre pourvu

{=

(18)

119

=-- 2,5T1 + 22

d'un arrêtage, le moment moteur est représenté par une 24,5

16

2

27,0

23

3

29,5

29

4

31

6

32,0 35,5 37,0

7

39,5

40

8

42

9

42,0 44,5

10

47,0

46

1

5

expression de la forme R (Ain+13),

34 37

44

Il est plus naturel de substituer à n, le nombre m de tours comptés à partir de l'arrêt inférieur, ce qui revient à remplacer n par m 2, 112 3..., selon que cet arrêt supprime 2. 3 tours. En supposant que l'on supprime les deux derniers tours, au lieu des formules (12) (18), on aura

m étant le nombre de tours comptés à partir de l'arrêt inférieur et même de fractions de tours, d'après les considérations que nous avons exposées dans l'article relatif au travail emmagasiné par les ressorts ; A, B, deux constantes dépendant des dimensions de la lame, du rayon R de la virole et de celui de la bonde. Cette formule peut être remplacée par la suivante, dans laquelle on fait intervenir l'angle 1) décrit par le barillet pendant le remontage, M =--- R

(-4 ± 11).

les suivantes :

y, = 0,10M + 0,425 y, = 0,15M + 1,65 y,

Si, en prenant la seconde pour unité, on commence à compter

le temps à partir du moment où le remontage est effectué, on voit que, pour les chronomètres sans fusée, dont le mouvement moyen du barillet peut être considéré comme uniforme, le ,moment moteur est de la forme

.0,10M + 1,10 0,10n/ + 1,10

= o,i5m + 1,20 Dans ces relations, le rapport entre le coefficient de m et le terme constant, est inférieur à un quart. Il nous paraît inutile de nous arrêter aux développements numériques auxquels peuvent conduire les formules empiriques linéaires que nous venons d'établir, pour évaluer le travail emmagasiné par le ressort entre le second tour

R («

.

a. et i3 étant deux constantes qu'il est facile de déterminer en fonction de A et B. Soient : Du profil de la fusée. r te rayon .tvecteur de la .courbe formée par la retrake