Annales des Mines (1868, série 6, volume 13)
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occupe la moitié de l'espace annulaire compris entre la virole et la bonde ; ce qui donne la relation
Il vient ainsi d'après le mode d'approximation adopté = p.
R0
3
=Noe,
(2)
N= o,
AI
extrêmes de
(Il no)
ep,
R
cpo= 27..
sera toujours une très-petite fraction dont on pourra sans inconvénient négliger les puissances supérieures à la première. Soient maintenant
(No 2)
27r. (N
27c (R 577
2) = 27:
( o,1821.+ 2), e
et les valeurs maximum et minimum Mo et M, du moment vantes
(-P-
±
6 1'
cp2) .
Mais nous avons fait remarquer que le terme du second degré en p est toujours très-petit pan rapport à l'autre et qu'on peut le négliger sans inconvénient, tandis que, au contraire, il convient de tenir compte de la courbure
pl 6
) (1 -1- 1 .3
Fe)
J.
e
11I1=p.
Ei [6 (0,1821-J1-2) (1 + 1.3)
En désignant par T le travail développé par," la détente complète du ressort, du moins dans les limites que nous lui avons assignées, il vient : r?0
Mo.c/P=1".(9).i)
r3 27:
(Ti ± 'fo) (1
+1 .3
e\ e
ou en réduisant
moyenne de la lame, à l'état naturel, et que nous déY
2)n
M seront respectivement données par les formules sui-
M le moment variable produit par la détente du ressort. l'angle correspondant formé par les rayons menés à ses deux points d'encastrement. F. le mouvement d'élasticité de la lame. Nous avons trouvé, en négligeant la courbure de la lame à l'état naturel,
signerons par -1 .
y_
on a,
2,6 . y,
M=
[-3 ye
M
(3)
Le rapport a ,-- 4 .
y
formule qui ne doit recevoir son application qu'en faisant abstraction des deux premiers et des deux derniers tours de la détente ; de sorte que, en appelant po et p, les valeurs
1,0472
1821
LT (,,_2
OU
au moyen de laquelle les équations (i) donnent
3e
503
DES CHRONOMÈTRES.
DÉTENTE DES RESSORTS MOTEURS
T=v.
(0,95
TI
25.133)
1,5462 .
(1+1. 3
11
-
y