Journal des Mines (1806, volume 20)
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NOTE, etc.
tère , parce qu'elle peut convenir à plusieurs, espèces. Du reste , il n'est pas nécessaire de déterminer la molécule d'un minéral pour re-
1FIELD 3IPAT TOI 2.
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connaître à quelle espèce il appartient. Ce
travail ne concerne que l'auteur de la méthode qui ne saurait employer des moyens trop précis pour la détermination des espèces ; mais celui qui ne se propose que de reconnaître à quelle
espèce appartient un minéral, trouvera dans la méthode des caractères plus maniables qui le conduiront au but.
D'après les détails dans lesquels je viens d'entrer, il sera évident pour tous ceux qui connaissent la théorie de M. Haüy, que les formes de la meionite sont exclues du feld - spath, que les deux molécules intégrantes diffèrent essentiel-
lement l'une de l'autre, et qu'en définitif ces
deux substances doivent rester séparées dans la méthode. _1\111EIVO1IIET,
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