Révisions de la page | Historique de transcription | Journal des Mines (1806, volume 20)

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stut. LE TRATTENItNT MlTALLITRGIQUE -

le de fer très-considérable. On peut croire que produit moyen, à l'essai, serait de 4o pour ioo au moins ; quantité supérieure à celle que donfonnent beaucoup de minerais de fer limoneux dus avec bénéfice. scories Pour connaître jusqu'à quel point les traitées de Chessy seraient susceptibles d'être fondu dans les hauts ,fourneaux à fer, j'en ai , et avec 25 centièmes de carbonate de équivalent j'ai obtenu un culot bien réuni , aux =, du fer contenu.

comJe pense donc qu'on pourrait les fondre de la me les usines de .ftr limoneuses, avec chaux carbonatée .argileuse , cztstine ou de la peutde la 'bute , qui ne pouvant et en retirer être donner du fer de bonne qualité, serait ein

ployée à d'autres usages. Cet objet paraîtra les d'une grande importance à ceux qui ont vu

les fontas immenses de scories qui avoisinent aurait deries , et qui peuvent juger qu'il n'y 'd'autres frais que ceux de fonte et de moulage. Lalonte rn ême ne serait pas très;dispendie use, la ,si l'on pouvait, comme à Ch.essy , employer déjà pour houille carbonisée, ainsi qu'on le fait déjà si le usinerai de cuivre. Cet établissement, et digne de servir de modèle, par l'intelligence opérations l'économie avec lesquelles toutes les exemsont conduites, pourrait encore offrir cetquelque d'un minéral , en ple , -presqu'unique , sorte analysé complètement , par les procédés métallurgiques , et dont tous les élémens ,

quelque valeur, seraient livrés au commerce. La théorie a donné, sur la possibilité, de traide

ter les Scories decztivre comme des minerais en fer, tous les renseignemens que l'on pouvait

iDtT CUT,rRE PYRITEUX

etc..

etendre; ce n'est plus maintenant

que pardes expériences -bn grand, que l'on peut confirmer ses aperçus,

et prédire quels seraient les avantaoes d'une pareille entreprise L'objet principal de ce Mémoire de faire cônclusion. considérer la silice OU le quartz est corrinié agent métallurique -propre opérer, dans les fourneaux, et à l'aide d'une haute température, la séparation du Jre à l'état de du cuivre qui coule seill ou uni aucombinaison soufr. Les observations et les expériences e. rapportées, ne me paraissentpas devoirque j'ai laisser de doute sur cette proposition

mais elles peuvent , en outre , servir à expliquer plusieurà passages des Traités de métallurgie ; ces ou. vrages ne contenant rien de précis sur la manière dont les substances mélangées on con-ibibées -dans les minerais, agissent les suries autres, et laissent enfin séparer le iules métal qu'il s'agit d'obtenir. Les mêmes faits font pourquoi diverses espèces de scories concevoir sont me1-7 lées aux minerais ou aux maltes dans diverses circonstances : les unes sont employées comme fondans des gangues, d'autres seulement donner de la fluidité à toutes les substancespour , en opérer une. espèce de dissolution qui facilite leur action réciproque; enfin il en est qu'on enploie- comme agent de séparation l'égard du Jr, lorsqu'elles n'en sont pas déjààsaturées; à Chessy les scories du minerai remplisent cet objet dans la fonte des inattes , comme on l'a déjà dit. 11 faut donc aussi modifier, dans beaucoup de cas, l'opinion des métallurgistes , qui ont regardé l'addition des substances terreuses aux minerais, comme servant sen] emen t à former

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