Journal des Mines (1806, volume 20)
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MINES DE FEII D LÀ 130UlteOGNE 396 alcaline cc Il est bon d'éprouver la liqueurde la sa-.-
par le nitrate d'amm.oniaque avant contient pas. de la turer, pour savoir si elle nedissolution. Alors, silice et de l'alumine en suffisante de ce d'une quantité par l'addition et les séparer Sel , il faut précipiter ces terres précaution, par la filtration : car, sans, cette la chaux, et l'on elles seraient précipitées par du phosphate de pourrait les prendre pour très-sensibles de chaux. J'ai trouvé des traces forge de Drambon ce sel dans la fonte de\la
quoique j'emsse employé pour la dissoudre dé
l'acide sulfurique étendu de six parties d'eau n'en moins qu'il cependant il y en a beaucoup n'ai reste dans le résidu de la dissolution. Je mais jusqu'ici essayé que cette espèce de fonte, qui proil est vraisemblable que toutes celles viennent des mines limoneuses contiennent les mêmes corps étrangers. » .
.
V I.
Examen des Fers de Dramboît et de. Faunes, 5 grammes de fer doux -c J'ai fait dissoudre dans l'acide sulfurique, affaibli
- de Drambon ,
j'ai recueilli le gaz
d'eau de cinq parties développé pendant, cette ,hydrogène qui s'est parfaitement il avait une odeur dissolution ; semblable à celle du gaz fourni par la fonte, elle était seulement moins concentrée. D?.
etc, 397 cc Le résidu laissé -par les 5 grammes, était rr DE LÀ
,
beaucoup moins abondant. que celui de la. fonte , il m'a paru aussi avoir une couleur noire moins intense ; pendant qu'il était mide , il exhalait une odeur fétideet très-forte,
analogue à celle du gaz hydrogène ;. il pesait 15 centigrammes , ce qui fait 3 pour loo. La dissolution du -fer avait également la même odeur, qui ne s'est dissipée que par l'évaporation. », cc Quelques atomes de ce résidu, mis -sur les charbons arden.s , répandaient une fumée blau,
die, et une odeur semblable à celle de Par-
senic et du phosphore. Rougi dans un creuset
d'argent, il s'est enflammé, et a laissé une poudre jaunâtre à laquelle j'ai mêlé un peu
de potasse caustique ; et j'ai calciné. J'ai ensuite délayé la matière dans l'eau. J'ai filtré la liqueur, et après l'avoir saturée par l'acide ni, trique, et soumise pendant quelques minutes.
à la chaleur, j'y ai mêlé de l'eau de chaux,
qui -y a formé 'un précipité blanc floconeux , dont la plus grande .partie était du phosphate
de chaux , contenant un atome de silice et peut-être d'alumine. »,.
tc Il est certain,, d'après ces expériences , que j'ai répétées plusieurs fois, que le fer de Drain, bon , qui passe pour être d'assez bonne qualité , recèle' encore des traces très-sensibles de
phosphore. J'en ai retrouvé aussi quelques légers vestiges dans la dissolution par l'acide $1.ilfurique.
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