Journal des Mines (1807, volume 21)
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SULFURES Résultat. 31,5 28,0 29)0
Soufré Cuivre
Fer métallique. Gangue
.
9
97)5
Proportions moyennes.
sont sensiblement les mêmes dans les deux
échantillons de cuivre p-yriteux. En faisant abstraction de la gangue et réduisant à loo parties
de minerai pur, on trouve
Pour le cuivre pvriteux de Sainbel ozfre . . 37,0 . . cuivre. , 30,2 .fer
32,3.
Pour celui de Baigorry,
Soufre
Cuivre Fer métallique. Gangue. .
1/7 Malgré les erreurs inévitables dans les analyses , il est facile d'apercevoir que les quantités relatives de - sozfre , de cuivre et defe r ,
.
31,5 '715 29,5 9
97)5
de J'ai lieu de croire que les proportions les
soufre sont un peu faibles, parce que toutes méthodes employées ne donnent jamais la totalité de ce combustible. Quand on traite les sulfures métalliques par l'acide nitrique étendu d'eau , le soufre reste mélangé avec des métaux qui s'oxydent pendant qu'on le. vaporise ; tout l'oxygène ajouté diminue la quantité du soufre : en employant , on évite l'acide nitro-muriatique et mais on peut vaporiser de cet inconvénient ; de quelque manière que l'on. l'acide sulfurique; s'y prenne on doit toujours regarder la quantité de soufre obtenue, comme au-dessous de. celle qui existe réellement.
soufre
.
.
35,o
. .
cuivre
.
.
3o,5
.
.
M. Proust a fait voir que le cuivre .pyriteuxcontenait le szdfizre de cuivre tout formé, et il regarde ce minéral comme un mélange des deux sulfures de cuivre et de fer : cette opinion me parait très-probable , quoiqu'on ne puisse peutêtre pas encore assurer que le sulfure de fer y existe dans le même état de combinaison constitue la pyrite defer naturelle.
M. Chenevix a obtenu d'un échantillon de cuivre pyriteux , 3o centièmes de cuivre et 53 d'oxyde de fer,qui correspondent à 35 de métal: j'ai aussi trouvé 3o centièmes de cuivre dans un morceau de Taine jaune de Chessy. En comparant ces résultats enteeux , et à ceux que j'ai présenté ci-dessus, j'ai été frappé du rapport qui existe entre les élémens d'un minéral qu'on regarde généralement comme étant d'une composition très variable ; la difficulté de le dis-
tinguer de la pyrite de fer a pu contribuer à
accréditer cette dernière opinion, mais je suis. porté à croire que lorsque le cuivre pyriteux, H