Journal des Mines (1807, volume 21)
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forte., mais que je n'ai aucune raison de rejeter , et que j'adopterai, puisqu'elle est dél'expérience. duite d'une formule basée sur résistance que I'eau Pour déterminer la 19. 30. les' paéprouve , par son frottement contre' coule , nous rois des tuyaux dans lesquels elle emploierons la formule très-simple dernièrement donnée par M. Prony (1) , qui est déduite,. savantes , d'un à l'aide des théories les plus faites avec un soin grand nombre d'expériences elle Buat et Chessy particulier par MM. Du peut être mise sous cette forme 7r. d 1 v ( a b v) ioo myr. 3= diamètre du tuyau. I = sa longueur. = la vitesse de Peau.
a
don : dans tous les cas , cette résistance se trouvant comprise dans l'expression suivante nous n'en chercherons pas ici de détermination particulière. zo. 50. Je ne sache pas qu'aucun de nos au-. teurs se soit occupé de la théorie des pompes en mouvement, et ait donné une expression de la force qu'il faut employer pour vaincre l'inertie de la masse d'eau à mouvoir , et pour imprimer à cette masse une certaine vitesse. Langsdorff,, auteur' d'un Traité d'hydraulique allemand, a publié, il y a quelques années une théorie générale des pompes aspirantes, qui l'a conduit -à l'expression suivante de la charge que porte le piston, 71- D. h 4. ,r D' 4 4
0,000017 .
0,0°03433 (a). La vitesse du piston étant 0,109 mét. , cette formule donne 0,002 myriagr. pour le corps de b
pompe, et 0,044 pour le tuyau d'aspiration CH tout 0,046 myr. 40. La résistance provenant du passage de
Veau par l'ouverture de la soupape ,qui est entre le tuyau d'aspiration et le corps de la pompe ne peut être qu'extrêmement petite ; elle serait même absolument nulle, si la soupape se levait entièrement ; car ce clapet ne fait que cou-
vrir l'extrémité supérieure du tuyau d'aspira-
(s) Recherches Physico-Mathérnatiques sur la théorie
des eaux courantes, §. 18,
1804.
(2) Les valeurs de. a et b telles que les donne M. Prony,
- je les en
sont affectées de l'action de la gravité ( 9,8088 .
ai dégagées.
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HYDRAULIQUES.
SUR LES MACHINES
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(A + B )1,` p
b
be .1,p))
dans laquelle le dernier terme exprime les résiS, tances , provenant du frottement de l'eau contre les parois des tuyaux, du passage par des étran,demens et de l'inertie. Dans ce terme : D = diamètre du corps de pompe ou du piston b = la longueur de la levée tems de la levée 2,7133 base de logs. hyp. (Quantité dépendant de la résitance de l'eau contre les parois des tuyaux, et déterminée d'après les belles expériences de Dubuat ) L (Quantité dépendant de la résistance qui résuite de la contraction de la veine à l'entrée 0,03 d
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