Journal des Mines (1807, volume 22)
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PEP ROUGE COMPACTE, etc.
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on fut assuré qu'elle ne contenait point de magnésie.
e. Le muriate de baryte ne troubla pas la dissolution. d. L'autre moitié de la dissolution b fut neu-
tralisée par l'ammoniaque, et l'oxyde de fer précipité par le succinate d'ammoniaque ; on chercha en vain dans la liqueur filtrée du man-
eanèse de la chaux et d'autres substances. Conclusion.
ANALYSE D .E quelques Minerais de fer et Produits de Jburneau du Creusot. Par M. GUENYVEAU
Ingénieur des Mines.
L'usIN E du Creusot est une des plus considé-
Le minéral désigné ci-dessus est conséquem.,
ment un oxyde de fer complet cristallisé en
rables qu'il y ait en France, et l'on ne pourrait peut-être lui en comparer aucune autre chez nos voisins, si la fabrication était portée
cube : cette combinaison contient, d'après mes dernières recherches, 70,5 de fer et 29,5 d'oxy-,.
aussi haut qu'elle pourrait l'être ; elle est aussi remarquable par la diversité des travaux qui
géne.
s'y font, que par la perfection et la grandeur des objets fabriqués. Pendant le séjour que je fis, au commencement de l'année passée (18o7), sur cet établissement avec M. l'Ingénieur des Mines Bouesnel
nous donnâmes une attention particulière au
traitement des minerais de fer à la houille car-. lionisée ou coak ; ce procédé qui vient des Anglais, pourrait être mis en usage dans un grand nombre de Départemens renfermant des mines très-abondantes de fer et de houille, sises avantages étaient mieux démontrés et plus connus. C'est au Creusot qu'on en a fait le premier et jusqu'ici le seul essai ; mais les minerais qu'on. emploie étant de mauvaise qualité, ainsi qu'on
le verra par la suite de ce travail, on ne doit pas être étonné si le succès n'a pas été complet,
et on ne peut rien en conclure contre le procédé' - même. Je vais présenter un certain Ff